« Salomé ayant bien pleuré »
16/07/2017 Bonjour à toutes et à tous,
Salomé ayant bien pleuré, elle finit par descendre de son arbre.
Enfin du tronc qu’elle avait enfourché, surplombant ainsi le lac.
Dans l’espoir de réaliser le plongeon du siècle.
Mais rien n’y fait, pas même les encouragements de sa mère tu peux le faire… tu vas te surpasser…
Elle renonce à l’exploit après bien des gémissements et des larmoiements.
Au plus grand désespoir des randonneuses et randonneurs qui s’essaient à la sieste après un copieux pique-nique.
Car après l’effort, doit arriver le réconfort.
Même si nous avons failli rater le départ de la randonnée qui est fixé à 9:00.
Je sais mes retards sont légendaires, veuillez m’en excuser bla-bla-bla…
Mais… nous ne sommes pas les dernières avec M. et B.
Et les sorties botaniques sont réputées pour ne pas s’effectuer au pas de course 🙂
Il n’empêche que nous avons tôt fait de rattraper la troupe qui s’est arrêtée sous un gros noyer.
En effet, l’animatrice distribue aux enfants présents à la balade tout le support nécessaire pour se constituer un herbier.
Après une bonne grimpette, le chemin sinueux nous dévoile une vue dégagée sur le légendaire Pech de Bugarach.
Le chemin descend alors à l’ombre de magnifiques bosquets de buis que la pyrale n’a fort heureusement pas encore dévorés…
Arrivées au fond d’un cirque, nous découvrons la Cascade des Mathieux aux eaux extraordinairement vertes.
Petit coin de paradis que je garde sous le coude pour un pique-nique insolite, avis aux amatrices et amateurs 😉
Après avoir trempé les pieds dans l’eau fraîche, le chemin du retour nous ramène au Lac de la Vêne pour un repas partagé.
Et la sieste qui s’ensuit tout naturellement.
Mais ça, c’était avant que Salomé…
Bien à vous,
Isabelle