« Vous dépendez de qui ? »
13/07/2020 Bonjour à toutes et à tous,
Vous dépendez de qui ?
Ma réponse est partie du tac au tac, alors qu’il m’annonçait une dépendaison de crémaillère.
D’ailleurs, je ne savais même pas que cela se faisait !
Avec le nombre de déménagements à venir dans mon entourage cet été, ça n’en finirait plus !
Il est un pour lequel en tous cas, rien ne se fêtera, ou alors sans moi.
Ça m’a renvoyée à une toute autre réflexion, en matière de dépendance.
Souvent, devant la difficulté, tu crois que cela va être difficile, parce que c’est ton mental qui anticipe.
Aucun animal, pour ne citer que nos plus proches voisins, ne réagit de la sorte.
Incroyable énergie, mais aussi incroyable pression, que nous mettons en œuvre pour saborder la simplicité de la réalité.
J’étais en train d’accumuler mentalement la quantité de choses à gérer qui s’annonçait.
Et le ronronnement bien rodé commençait à se profiler dans mon crâne.
D’un coup, je me suis dit stop !
Stop à ce mécanisme récurrent, celui qui fait encore partie du vieux monde.
Cette vieille habitude reptilienne qui veut nous faire anticiper pour la sauvegarde de l’espèce.
Il est temps de se débarrasser de certains réflexes archaïques pour nous permettre d’évoluer encore.
Tout comme le poisson quand il est sorti de l’eau pour s’adapter à la vie terrestre.
Ou la chenille qui devient chrysalide avant de se transformer en papillon.
Étaient-ils pétris d’angoisse générée par le mental à la vue du changement ?
Ou suivaient-ils avec une confiance sans limite la transformation que la nature leur offrait ?
Pire, leurs cellules demeuraient identiques tandis que leur aspect physique se modifiait !
Nul doute que tout réside dans la matière, et dans la transformation de celle-ci.
J’en étais une fois de plus à me dire que Mère, dans sa quête de transformation, avait vraiment atteint une autre dimension.
Bien à vous,
Isabelle