« Une autre facette de l’homéopathie »
01/07/2018 Bonjour à toutes et à tous,
Après 30 ans de bons et loyaux services qu’elle me procure ainsi qu’à mes proches, grande nouveauté !
Je viens de découvrir une autre facette de l’homéopathie !
Ou plutôt redécouvrir.
Car c’est en Inde que, pour la première fois, j’ai entendu ce mode d’administration préconisé par la gérante de l’officine pharmaceutique.
La pharmacienne m’avait conseillé de diluer les granules dans de l’eau pour les absorber.
Chose que je n’ai bien sûr pas faite, pétrie que j’étais de la supériorité occidentale en matière d’avancées médicales.
FAUX ! ACHI FAUX !
Je viens donc d’apprendre ces jours que le père de l’homéopathie, Samuel Hahnemann n’utilisait ses médicaments que dilués dans l’eau !
Ainsi, en 1836, il rapportait à Constantin Hering le constat suivant :
« J’ai apporté quelques améliorations dans la technique de notre art et tu vas être le premier à les connaître… Comme mes médicaments sont très puissants, je dissous rarement plus d’une granule dans 7, 15, 20, 30 cuillères à soupe d’eau, comme les patients n’ont pas d’eau distillée (qui de toute façons s’altère et fermente après plusieurs jours) j’utilise de l’eau de source ou de rivière mélangée à 1-15ème ou 1-20ème d’esprit de vin ou bien je mets 3 ou 4 petits morceaux de charbon de bois dur dans la solution. Ce mélange (dont un patient souffrant d’une maladie chronique prend 1, 2 ou 3 cuillères à café chaque jour ou un jour sur deux) doit être secoué 5 ou 6 fois avant chaque prise, pour changer chaque fois le degré de dynamisation. »
Généralement des doses de cheval sont administrées sous forme de 3 ou 5 granules sèches à prendre par jour.
C’est pour cela que les praticiens officiant de la sorte soulignent une aggravation possible des symptômes en début de traitement…
A suivre…
Bien à vous,
Isabelle