« Un film peut en cacher un autre »
09/06/2019 Bonjour à toutes et à tous,
A peine ai-je eu le temps de me doucher au retour d’une grosse journée de bénévolat que déjà l’heure de la première séance s’annonçait.
Le casse-croûte, je me le réservais pour la mi-temps, car ce soir-là il y avait deux projections de programmées.
La bonne nouvelle c’est que ça me laissait une heure de battement entre les deux.
La mauvaise c’est qu’à présent nous n’avons plus qu’une projection mensuelle dans le cinéma de mon village, avant…
Bref, n’imaginons pas le pire de suite 🙁
Tout d’abord j’ai vu donc vu Jusqu’ici tout va bien de Mohamed Hamidi puis ensuite La lutte des classes de Michel Leclerc.
Bon, je ne vais vous les raconter en détail mais plutôt vous donner une impression globale.
Parce qu’en essayant de me les remémorer, les scènes se sont mélangées dans ma mémoire…
Et que j’ai eu soudain cette curieuse sensation qu’un film peut en cacher un autre.
Et qu’ils auraient pu faire un seul et même scénario et donc un seul et même film !
Entre banlieues parisiennes et lutte des classes, école publique et école de la vie, diversité culturelle et ethnique, le tour est joué.
C’est dingue comme ça en inspire du monde ces ramassis de clichés qui ne débouchent sur rien de neuf…
Et qui ne sont même pas convaincants ni même défoulants.
De rire cela s’entend.
Bref, je suis rentrée avec la même migraine que la veille parce que ça ne m’avait pas vidé le crâne.
Mais ça c’est à cause du survoltage d’activités ces derniers temps.
Allez encore un dernier bon coup de collier en vue et je devrais me la couler douce dès la fin de mois, à moins que…
Bien à vous,
Isabelle