« Un facteur commun à toutes les chorales »
09/09/2018 Bonjour à toutes et à tous,
Un facteur commun à toutes les chorales ?
Non, mauvaise pioche, ce n’est pas le facteur d’orgue…
J’ai eu la joie du bonheur d’être heureuse comme dirait l’autre, de participer à un stage de chant polyphonique gascon.
Lutxi Achairy nous avait concocté un répertoire de chants à écouter dits « non pulsés » dans la tradition pyrénéenne.
Et une pratique du chant à danser dont la rythmique est adaptée pour ce faire.
Souvent, dans ce genre de rencontres, beaucoup de participant·e·s sont issu·e·s de la même chorale.
Et à mon grand étonnement, j’ai cru retrouver mes ancien·ne·s voisines et voisins de pupitre !
Par charité, je ne dénoncerai personne mais je sais que vous allez les reconnaître 😉
Ah ben oui, vous savez, il y a toujours celui qui ne sait pas s’il doit chanter en haut, en bas, à droite, à gauche…
Mais de toutes façons on le retrouve toujours à côté des filles, c’est là qu’il se sent le mieux.
Il y a celui qui a gardé un profil de premier de la classe et il ne peut pas s’empêcher de fredonner avec la cheffe de choeur.
Pourtant ça fait 10 fois qu’elle pointe son doigt sur la poitrine pour bien indiquer qu’elle entonne le couplet seule 🙂
J’ai cru retrouver aussi celle toujours devant qui bouge bien son corps en chantant fort, très fort.
De préférence n’importe quoi et dans n’importe quelle voix.
J’ai eu aussi un déclic en voyant la même petite madame chétive qui a toujours l’air de se demander ce qu’elle fout là.
Alors qu’à cette heure elle serait si bien au fond de son lit, mais bon… ça lui fait une sortie..
J’ai vu aussi arriver planplan les deux bonnes copines qui finissaient de tailler la bavette en s’asseyant.
Même pas capté d’ailleurs que la cheffe de choeur leur disait Mais vous êtes même en avance pour 9:30 !
Le stage démarrait à 9:00 🙂
Mais j’ai retrouvé aussi la belle et grande tablée de mi-journée, avec toujours saucissons et vin locaux à gogo !
Juste qu’ici c’était dehors et sous le soleil.
Bien à vous,
Isabelle