« Un bon break et ça repart »
01/03/2024 Bonjour à toutes et à tous,
Un bon break et ça repart, rien de tel pour être réellement efficace après.
En ce qui me concerne, ce n’était pas voulu.
D’abord j’ai cumulé une grosse charge de travail, ajouté à cela une précipitation de nouvelles désagréables à Auroville.
Pour couronner le tout, j’avais pris un engagement que je me devais d’honorer.
Bilan, j’ai fini la fin de semaine dans mon lit par tant de fatigue cumulée.
Voilà, ton corps est bien plus sage, et quand il te dit stop, c’est stop !
Ma Petite chronique en a pris un bon coup, de retard, et j’ai fait l’impasse sur 11 jours de silence radio.
Peut-être que j’arriverai à remonter le temps, ça m’est déjà arrivé une fois dans les annales de 13 ans de Petite chronique.
Ou peut-être que je n’y arriverai pas.
Mais quand t’es au fond de ton lit, et que la fièvre te fait délirer en italien, la moindre de tes pensées est un calvaire.
Une seule envie, dormir et dormir encore pour oublier le mal.
Après avoir passé la journée à me trainer comme une loque, en fin d’après-midi, vers 16:00 j’ai pris la décision de ne pas me rendre au vernissage où j’étais attendue.
Voilà une des raisons pour laquelle j’avais cumulé un retard de sommeil, m’étant couchée à 2:00 du matin la veille pour finir mon travail.
Faut dire que j’avais été sollicitée une semaine auparavant pour participer artistiquement à l’anniversaire de la galerie d’exposition.
Sans hésitation, j’avais répondu favorablement pour contribuer, sachant toute l’énergie qu’investit cette amie dans des réalisations et des performances artistiques sans déchets.
Et si j’étais allée là-bas la veille mettre en place ma réalisation, le jour du vernissage c’est de mon lit que j’avais contribué à l’événement.
Heureusement que cette amie m’a envoyé une photo, j’avais moi-même zappé de la faire la veille, la magie de l’éphémère sans doute…
Allez, vous avez un mois pour vous rendre à Pondy et découvrir le travail exposé à Tasmai Gallery !
Bien à vous,
Isabelle