« Tout sauf des puzzles »
28/04/2022 Bonjour à toutes et à tous,
Tout sauf des puzzles que je me suis dit écriée en moi-même à la vue de la pile de boîtes posées sur l’étagère…
Bon ça c’était une des options.
L’autre option, c’était de faire des dessins avec du papier et des crayons mis à disposition sur une table, à côté de mon transat.
A vrai dire, ni l’un ni l’autre ne m’inspiraient.
Et surtout, pour ma seconde journée au Language Lab, j’étais à nouveau dans la pièce commune, toujours en compagnie d’une maman et de son bébé.
Bébé qui marquait bruyamment son impatience, deux heures c’est long dans une journée de bébé, lorsque sa mère, casque vissé sur la tête, s’endormait sur son transat.
Alors pour s’occuper toute seule, la petite fille avait trouvé un jeu qui l’occupa un moment.
Enfiler des crayons de couleur dans les trous du grillage et les regarder disparaître, c’est une activité passionnante.
Mais quand les crayons eurent disparu un à un par la fenêtre pour atterrir quelque part dans la nature, que faire ?
Essayer cette fois de faire rentrer des pinceaux dans les prises électriques ou les prises pour les casques, c’est tout aussi intéressant…
Bref, à un moment, la mère ouvrit un oeil, commença à empiler des planchettes sur le carrelage, d’où un bruit sec qui en résulta à chaque fois que l’édifice s’écroulait.
Moi j’essayais péniblement d’écouter Mozart tout en rongeant mon frein…
Au bout d’une dizaine de minutes, n’y tenant plus, je me levais d’un coup et allais à la rencontre du manager pour lui faire part de mon ressentiment.
Bigre, la Méthode Tomatis opérait-elle déjà en moi ?
Bien à vous,
Isabelle
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