« Tomatis pour tout le monde «
23/06/2022 Bonjour à toutes et à tous,
Tomatis pour tout le monde ! J’en remets une couche après celle d’hier…
J’aurais presque été tentée d’écrire Tomatis pour les Nuls, inspirée par la super collection littéraire qui propose de tout découvrir.
En fait, plus j’avance dans la pratique de la Méthode Tomatis, mieux je vais, heureuse constatation !
Dans quel sens, allez-vous me demander, bien évidemment.
Pour rappel, la thérapie Tomatis résonne différemment en chaque personne, selon son vécu, ses manques, ses besoins et sa capacité à entendre, aussi.
Il est évident, en ce qui me concerne, que maintenant le constat est de plus en plus flagrant après ces premiers mois de travail sur l’ouïe et l’écoute.
Et d’apprecier alors combien les répercussions de ce travail tout intérieur me font découvrir d’autres horizons.
D’abord redécouvrir la capacité à me faire entendre là où, avant, je me taisais.
Par lassitude de ne pas arriver à se faire entendre, petit à petit on se referme, normal.
Lors du test d’entrée, ressortait, entre autres, un point particulier dans mes courbes, celui de ne pas être écoutée.
Une attitude de retrait et de mise en sourdine volontaire en résultait.
Dorénavant, avec cet accompagnement de la Méthode Tomatis, l’ordre des choses a changé.
Il m’est également possible de percevoir intuitivement les intentions derrière les mots, comme un filtre qui se serait débouché.
Une écoute plus fine en découle, pour ainsi dire, avec une résonnance tout à fait particulière.
Il est évident que bien des choses ont été bouleversées dès les premières séances, notamment dans ma relation aux autres.
Il m’est possible, et sans culpabilité, de couper court à toute conversation un peu trop intrusive, je disais il y a peu.
Il est là le libre arbitre que chacune se doit à elle-même.
Elle est là la conscience que l’on met jusque dans les mots justes, pesés et non pas déversés comme un flot soudain sur autrui.
L’hygiène relationnelle, ça résonne encore comme un gros mot, et pourtant…
Être un bon compagnon pour soi-même, disait Jacques Salomé, effectivement, tout commence là.
Bien à vous,
Isabelle
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