« Tomatis entre science et conscience »
27/04/2022 Bonjour à toutes et à tous,
Tomatis entre science et conscience, j’allais mettre le doigt sur une épineuse controverse dont j’ignorais totalement l’existence.
Effectivement, je n’étais pas au bout de mes surprises en m’engageant dans le process dont j’avais tant rêvé.
Après le test initial et à fin de la deuxième séance, je rencontrais l’une de deux personnes initiatrices du projet Language Lab à Auroville.
Le débriefing du test, en premier lieu, m’apporta de nombreux éclaircissements qui recoupèrent tout à fait mon travail achevé en kinésiologie.
J’appris ainsi que mes oreilles étaient parfaitement et totalement ouvertes à l’écoute.
Mais il y avait également confirmation de ce passage total stress dans ma vie actuelle… et pour cause !
Il n’empêche que même quand tout fout le camp d’un côté, de l’autre tout se reconstruit, s’organise, va de l’avant.
C’est comme cela que j’ai reçu le message.
Et du coup mon moral est remonté : des chaussettes il est passé… aux guêtres !
Parce que oui, je suis une éternelle optimiste toujours dotée d’un excellent moral, what else ?
J’appris donc avec consternation que l’Ordre des Médecins et la Fédération Nationale des Orthophonistes avaient fait barrage de concert aux travaux de Tomatis.
Pire que ça, il avait été radié du même ordre cité ci-dessus.
Quand l’ego tient le gouvernail, il n’est plus question de venir en aide à autrui sans condition..
Continuant coûte que coûte ses recherches et dispensant les soins malgré tous les bâtons dans les roues, le couple envisagea de passer la main.
C’est donc le fils né d’un premier mariage de Tomatis qui assura la relève de l’entreprise familiale mondialement réputée.
Mais ce fils s’associa à un escroc financier qui, souhaitant rentabiliser l’oeuvre et le travail de Tomatis, s’installa même sur les Champs-Elysées.
Avant de s’enfuir et s’installer au Luxembourg, plantant tout le monde, tel un intouchable lorsque l’entreprise fit faillite pour indigestion d’ambition.
Mais en gardant en main toutes les commandes de l’entreprise dépouillée, pour la faire fructifier ailleurs…
Le couple Tomatis, contraint d’éponger la totalité des dettes, se trouva complètement dépossédé de tout, n’ayant même plus de logement.
C’est alors qu’à Carcassonne leurs amis de longue date se solidarisèrent pour les accueillir, et ça, je fus également stupéfaite de l’apprendre.
Mais le plus incroyable fut d’apprendre que Tomatis lisait Sri Aurobindo et que sa femme connaissait Auroville…
Commençait ainsi pour eux une nouvelle expérience en pays cathare… doublée d’un essort spirituel à Auroville.
Bien à vous,
Isabelle
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