« Tel père, telle fille »
07/04/2015 Bonjour à toutes et à tous,
Bon, j’avoue que c’était facile.
Et tentant.
Vous avez constaté que le grand ménage de printemps a démarré, certains ont même décidé de laver leur linge sale en public.
Dans la famille Le Pen, je voudrais le père… bonne pioche !
Je voudrai la fille… bonne pioche !
Ben oui, tel père, telle fille, évidemment qu’ils vont s’entredéchirer s’entretuer pour du pouvoir.
Tiens, ça me fait penser à Bambi, mais en plus pitoyable, quand la place du vieux cerf est disputée par le jeune premier…
Non, en fait, j’ai plutôt eu un déclic en entendant Jamel faire la promo de son nouveau film « Pourquoi j’ai pas mangé mon père », c’était donc ça !
C’est vrai que d’un autre côté, dans le paysage politique français, on a un ramassis de papis dont Giscard d’Estaing 89 ans, Rocard 85 ans, Le Pen 86 ans par exemple… qui continuent de la ramener et de radoter de plus belle.
C’est bizarre d’ailleurs que le principe de la retraite ne soit pas appliqué à ceux-là.
Et encore moins celui de la limite de candidature.
Quant au cumul des mandats, je n’ose même pas en reparler ici, ça a déjà fait l’objet d’une Petite chronique…
Bref, il faut surtout retenir, comme me l’a confié un médecin, que les maisons de retraite ou EHPAD, croulent sous le nombre de demandes, et que le coût mensuel de ces établissement tourne entre 2700€ et 3500€ par chez nous.
Sachant que la majorité de ces résidents n’a pas les moyens de régler intégralement la note, vous comprendrez bien pourquoi on incite le milieu médical à sous-évaluer le degré d’autonomie des personnes âgées.
Plus les personnes âgées restent chez elles, même si c’est très compliqué et angoissant pour les familles, moins ça coûte cher à la collectivité.
Reste plus qu’à souhaiter que les personnes âgées qui restent cloîtrées à leur domicile soient en bonne santé…
En tous cas, au moins celles de la région parisienne échapperont ainsi à la pollution atmosphérique qui refait parler d’elle.
Ben oui, Ségolène Royal a précisé qu’on ne peut pas interdire aux voitures de rouler, comme c’est le cas dans la mise en place de la circulation alternée en cas de pic de pollution.
Paraît que c’est une mesure privative de liberté.
Oui, on a la liberté de choisir de polluer.
Par contre, être malade à cause de la pollution, ça n’entrave aucune liberté.
Puisqu’on ne choisit pas entre être malade ou bien-portant.
Bien à vous,
Isabelle