« Servis sur un plateau doré »
24/01/2013 Bonjour à toutes et à tous,
Auberge de Poleymieux
Si le climat ambiant de ces jours prend des airs de sinistrose, point de doute, il vous faut changer d’air.
Evidemment si je vous dis cela c’est que j’ai un bon plan à partager avec vous 🙂
Alors si je commence par quiche aux champignons sur un lit de salade verte en entrée, et que je poursuis avec un rôti de porc accompagné de crozets en gratin; vous savez les petites pâtes savoyardes carrées, le tout arrosé d’un pichet de vin rouge des plus agréable, ça vous met en appétit ?
Bon alors je continue avec une option sans gluten (même sans avoir prévenu à la réservation) puisqu’il m’a été servi une assiette de jarret aux lentilles qui a fait quelques envieux, n’est-ce pas JP; le tout servi avec amabilité, sans donner l’impression d’être l’emmerdeuse de service 😉
Et pour le dessert, nous avions un tel choix qu’on a cru qu’il n’allait jamais s’arrêter !!!
Sauf qu’on a tous flashé sur les oeufs à la neige maison, une seule a préféré la tarte aux noix, son péché mignon, on la comprend il était si dur de se décider 🙂
Ah oui, j’ai oublié de vous dire que tout est cuisiné maison, bien sûr.
Et que la salle du restaurant, même bien remplie, est conçue dans un souci de convivialité évident avec l’agencement des tables qui permet de discuter et de rire sans gêner ses voisins, nous étions 8 quand même et pas des plus discrets…
Que nous avons même pris le café.
Que nous étions très motivés, après nous être bien régalés pour affronter le froid durant les 3 heures de randonnée de la Pie Verte,
Le Mont d’Or
côté montagne des Monts d’Or cette fois.
Donc si je me résume, vous associez un excellent repas fait maison à l’Auberge de Poleymieux, dotée d’une cheminée pour l’hiver et d’une terrasse sous le tilleul pour l’été, plus un service tout en sourires, le tout dans le joli village de Poleymieux, au coeur du Mont d’Or à 11 km de Lyon exactement, voilà, vous avez tout en main pour donner des couleurs à votre hiver, aucune excuse !
13€80 par personne, c’était le dernier argument de cette Petite chronique…
Bien à vous,
Isabelle
