« Restons positifs »
20/02/2016 Bonjour à toutes et à tous,
Restons positifs.
Et quoiqu’il arrive, le pire comme le meilleur.
Deux nouvelles locales sont arrivées exaequo ces jours, c’est à dire qu’elles sont tombées subitement, l’une et l’autre, presque du jour au lendemain !
Un jour, alors que je circulais sur le petit chemin à l’entrée du village, j’observais un gros merlin de terre qui bloquait l’un des accès du lotissement longeant le cimetière.
Sans doute pour barrer le passage, aux gens du voyage qui ont pris l’habitude, depuis quelques années, de stationner ici avec leur cirque, songeais-je alors…
Mais lorsque trois jours plus tard, je vis une maison trôner à cet emplacement, quelle ne fut pas ma surprise !
Me revint alors le projet de maison alternative qui avait été évoqué sur cette parcelle, il y a… fort longtemps, si longtemps que j’en ai oublié l’étude de cas.
La maison à énergie positive, première du village dîtes-donc, porte le doux nom de Natigreen.
Le projet est beau, magnifique, même, espérons qu’il saura s’intégrer au milieu d’autres constructions beaucoup moins sensibles en matière de conception écologique et environnementale, no comment.
Ah ben oui, parce qu’elle est plutôt collée à ses voisines, que se pavanant au milieu d’une belle nature comme sur la maquette de l’entreprise.
Son ossature bois lui a permis de voir le jour en trois jours, c’est pourquoi elle est si vite sortie, non pas de terre, mais d’usine où s’est fait l’assemblage.
Et ce même jour, je découvrais dans la presse que 6 élus du Conseil municipal de notre commune avaient démissionné.
En bloc. C’est sans doute ce qu’on appelle ne pas faire les choses à moitié.
Mais rien de plus que le ressenti de beaucoup de villageois, relayé par les potins locaux.
Se reprocher mutuellement d’avoir desservi des intérêts personnels en priorité, l’effet arroseur-arrosé ?
Une fois de plus, restons positifs et attendons les directives du sous-préfet, la suite dans…
En mal de conversations au sujet de notre beau village ? Vous voilà servis 😉
Bien à vous,
Isabelle