« Prendre le temps de rester en bonne santé »
25/05/2019 Bonjour à toutes et à tous,
On va faire un contrôle depuis le temps, tenez… m’a dit ma nouvelle homéopathe.
Ben oui, j’avais remis la main sur d’anciens mauvais résultats datant d’une décennie, alors depuis, quoi de neuf ?
J’ai d’abord eu la surprise d’aller faire une analyse de sang le matin et de recevoir les résultats le soir même.
En ligne, of course 😉
Et bien voilà… tout est parfait m’a commenté mon homéo à qui j’ai transmis les résultats de la même façon.
Et ça c’était la deuxième bonne surprise 😉
A vrai dire, je constate avec satisfaction que mon corps apprécie les attentions particulières que je lui accorde.
Et pourtant, je ne fréquente pas les esthéticiennes ni les nutritionnistes et encore moins les salles de sport.
Juste prendre le temps de rester en bonne santé, c’est peut-être faire preuve d’une grande naïveté.
Mais surtout de sagesse et d’une grande patience auxquelles je fais confiance à 100%.
Bien plus qu’aux promesses de la science et des limites sans cesse repoussées qu’elle brandit.
Comme celle d’enrayer toute maladie sur terre simplement en ayant recours à des vaccinations massives…
Oui, notre corps est avant tout doté d’une perfection qu’aucun·e ne peut égaler.
Parce qu’il a été programmé pour vivre, donc aussi pour s’auto-réparer..
Si on lui en laisse le temps.
Le même jour, je recevais la newsletter de la revue Néosanté intitulée « La mésange casse cou »
Curieusement, elle venait en écho à mes propres constatations, moi qui des années en arrière avait refusé le pire.
C’est à dire de prendre du Levothyrox à vie, comme préconisé d’après le résultat de mes analyses de sang…
Je l’avais joué feeling et homéopathie à l’époque, tout en accordant une attention particulière à ma thyroïde.
Mon corps me dit merci et je continue de prendre soin de lui pour qu’il continue à être un bon compagnon.
Mais j’ai mis du temps à comprendre cela.
Car auparavant j’ai testé tous les stades classiques administrés par le corps médical.
Alors adieu, stress, peur, doute, angoisse, impuissance… ils ne sont plus en rayon !
Bien à vous,
Isabelle