« Prendre des vacances »
23/03/2025 Bonjour à toutes et à tous,
Tu sais que tu peux aussi prendre des vacances, m’a t-il dit, en voyant ma tête déconfite face à la charge de travail que je n’arrivais plus à gérer.
Ben c’est vrai, je n’y avais jamais pensé, faire une pause de Petite chronique pour cause de vacances, et pourquoi pas ?
Alors voilà, c’est comme ça que j’ai mis mes publications en pause, mais malheureusement… je n’ai jamais cessé d’écrire durant tout ce temps-là.
Oui c’est comme ça, les idées n’arrêtent pas d’affluer dans ma tête, et je suis contrainte, entre guillemets, à toujours prendre des notes.
Non, parce qu’il ne s’agit pas vraiment d’une contrainte en ce qui me concerne, c’est plutôt un plaisir.
Depuis mon séjour en France jusqu’au retour en Inde, j’avoue que je n’ai pas géré.
Il me fallait établir des priorités, et des priorités parmi les priorités, vous voyez mon niveau de stress…
J’ai donc écrit en sourdine, si vous voulez.
Pour quelqu’une qui ne procrastine jamais, je n’ai pas fait les choses à moitié.
Impossible de rattraper en Inde le boulot de rédaction que je n’ai pas fait en France, et vice-versa.
Pourtant, tout est écrit et stocké sur mon Google keep.
J’ai essayé de trouver la motiv en me disant que je publierai deux petites chroniques par jour, histoire de résorber mon retard.
Ainsi je publierai celle du jour-même bien sûr, et celle du mois passé, en remontant le temps.
Normalement, chaque Petite chronique peut se lire individuellement, sans rien qui ne puisse la rendre dépendante de la précédente ou de la suivante.
Un des problème c’est qu’entre ce mois-ci et le mois dernier, 8000 km nous séparent.
Donc je vais vous demander un peu d’indulgence, parce que vous allez jongler entre l’hiver en France et la chaleur retrouvée en Inde.
Oui c’est ça, la neige et le froid d’un côté, l’été qui s’annonce de l’autre.
Ne soyez donc ni surpris·e·s ni choqué·e·s par mes histoires sans queue ni tête et qui passeront sans cesse du coq à l’âne.
Voilà, un genre de compromis gourmand concocté à ma sauce, entre la tête de coq et la queue de l’âne.
Vous me direz ce que vous en pensez et éventuellement vous apporterez vos commentaires.
Bon, attention, comme d’habitude on fait dans le constructif, n’est-ce pas ?
Non mais franchement, il y en a marre de ces gens qui ne font que dans la critique, la faute aux réseaux sociaux, bien sûr !
Bien à vous,
Isabelle
