« Petit tour d’horizon indien »
13/02/2020 Bonjour à toutes et à tous,
Commençons par un petit tour d’horizon indien pour répondre à d’autres questions que vous me posez sur le mode de vie ici ?
D’abord, sur la photo, voilà un aperçu de mon marché du matin.
C’est la pleine saison de la goyave, elle embaume dans toutes les rues et les magasins.
Ici les gens en achètent même rien que pour parfumer leurs maisons tant ce parfum est exquis, enivrant.
B. à qui j’avais fait découvrir l’odeur de ce fruit a eu une drôle de surprise de retour en France.
Quand il a ouvert le frigo où étaient stockés ses fruits ramenés d’Inde, le merveilleux parfum de la goyave a envahi toute sa cuisine !
J’ai aussi acheté une coco fraîche et pleine d’eau, que l’on boit telle quelle ou utilise dans les smoothies.
La pulpe blanche encore tendre sert à la confection de chutney, si vous ne l’avez pas déjà toute dévorée, ce qui est souvent mon cas ?
Très bon marché aussi, voilà la papaye qui se glisse dans la liste de mes achats.
On aussi une variété de petits oignons qui se rapproche des échalotes, c’est mon péché mignon avec les crudités.
En parlant de crudités, toujours au goût du jour, voilà le radis blanc et le concombre qu’accompagnent maintenant les tomates, c’est la saison.
Ah oui, ça c’est mon menu du soir, l’assiette de crudités.
Parce que le midi, je me réserve pour le restau, et vous voulez que je vous dise, on y prend goût ?
A part ça, j’occupe mes journées à diverses activités manuelles, comme d’hab !
Quand je ne gratte pas dans mon pots de fleurs – cette manie – je crochète un joli coton perlé vert, bientôt le résultat en photo.
Bon, j’avoue que j’ai quand même rechuté pour un truc, alors que je pensais avoir définitivement tourné la page.
J’ai cédé à l’envie de reprendre le pinceau… et très modestement investi dans quelques minuscules pots d’acrylique.
Une façon de me faire plaisir peut-être, face à la catastrophe pressentie qui est malheureusement arrivée…
Bon, rien de grave, mais je vous en dis un peu plus la prochaine fois parce que là, je l’ai encore un peu en travers ?
Et dieu merci, je ne finirai pas en épave, car ma voie se poursuit plus lumineuse que jamais ?
Bien à vous,
Isabelle
