« Perdre la couronne entre Olympe et Auroville »
19/05/2022 Bonjour à toutes et à tous,
Je ne sais encore pas comment j’ai réussi à perdre la couronne entre Olympe et Auroville.
Tout commence avec la fin de l’audition d’une série en podcast sur France Culture intitulée Avoir raison avec Olympe de Gouges.
Cela n’était pas sans me rappeler que sur ordre de Robespierre elle fut guillotinée, le tour de ce dernier arrivant peu après…
« Qu‘est-ce au contraire que le pouvoir exécutif? Un monarque revêtu d’une énorme puissance, qui dispose des armées, des tribunaux, de toute la force publique d’une grande nation, armé de tous les moyens d’oppression et de séduction : combien de facilités pour satisfaire l’ambition si naturelle aux princes, surtout lorsque l’hérédité de la couronne leur permet de suivre constamment le projet éternel d’étendre un pouvoir qu’ils regardent comme le patrimoine de leurs familles(…) » Robespierre, Discours, Contre le Veto royal, t. 6, 1789, p. 90
Couronne, couronne, vous avez dit couronne… oppression, séduction, pouvoir…
J’avoue toujours humblement que je ne sais pas comment les connexions se font dans mes neurones, ni comment s’établit le lien entre tous ces événements.
D’autant plus que ma couronne dentaire, elle, je l’avais bel et bien perdue physiquement en dégustant un chocolate dosa… tu parles d’une affaire !
Oui, et elle était même venue accompagnée d’un bout de racine, how is it possible ?
Enfin la couronne, n’était-ce donc pas aussi la chose qui alimentait toutes les discordes ici-même, à Auroville, depuis 5 mois ?
Bref, vous me ferez un condensé de tout cela et l’on verra bien ce qu’il en ressortira.
Ou pas.
Pour ma part, je prenais rendez-vous immédiatement chez le dentiste pour remédier à mon problème de couronne.
Quant à Olympe et Robespierre, c’était déjà tranché, paix à leur âme.
Et immense respect pour cette dame dont on se doit de saluer l’oeuvre toute entière qui est une avancée pour l’humanité.
Mais pour Auroville, quel serait donc le remède ?
De fleurs ou d’épines, couronne solaire ou mortuaire, couronne de lumière ou de martyre…
Bien à vous,
Isabelle
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