« Pas d’eau et pas de fan »
04/05/2022 Bonjour à toutes et à tous,
Ce matin-là, pas de chance, c’était panne à tous les étages, pas d’eau et pas de fan…
A peine arrivée au Centre Tomatis pour ma paire d’heure d’écoute, déjà le manager m’exprimait la nécessité de couper le fan pour cause de générateur en action.
Et donc de baisse générale de production électrique.
Ça laissait présager le pire, vu qu’au petit matin, dès 8:00 il faisait déjà plus de 30° et que la météo prévoyait des 44° et 45° en début de semaine prochaine !
J’ai donc commencé à peindre, stoïque mais baignée de sueur dégoulinant par tous les pores de ma peau, le casque vissé sur les oreilles.
Bien que j’eusse ouvert toutes les portes et fenêtres alentours, y compris dans les toilettes, rien n’y fit, quand il fait chaud, il fait très chaud en Inde.
Mes deux heures écoulées, j’étais passablement humide des pieds à la tête, vu les litres d’eau déjà ingurgités depuis le matin.
Et avant d’aller me restaurer, je n’avais qu’un rêve en rentrant, prendre une bonne douche froide et me faire un shampooing par la même occasion !
Déjà je courais à poil dans la salle de bain, prête à me jeter sous le filet d’eau tant rêvé.
Mais je crus à un mauvais gag quand rien ne sortit du pommeau de douche…
Ni du lavabo et encore moins de la chasse d’eau…
Je ramassais mon pantalon et un top à toute allure pour me rhabiller et tenter de trouver quelqu’un pour résoudre ce problème.
Par deux fois je crus que la personne en charge de l’eau avait trouvé la faille quand coul un mince filet d’eau.
Par deux fois je dus déchanter et patienter, à nouveau à poil dans la salle de bain…
20 minutes plus tard, ce n’était pas un mirage mais bien l’eau qui coulait pour de bon dans toute la tuyauterie de la salle de bain, YES !
Toutes ces émotions m’avaient creusée, et je pus enfin pédaler à toute allure pour aller me rassasier, toute de propre vêtue !
Bien à vous,
Isabelle
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