« Par précaution j’avais anticipé »
04/06/2024 Bonjour à toutes et à tous,
Par précaution j’avais anticipé, et quand même bien bloqué le bas de la moustiquaire de la porte, celle qui donne sur la terrasse et reste ouverte jour et nuit.
Porte qui reste ouverte quand je suis à la maison, cela s’entend.
Ne laissant rien traîner qui fut grignotable, j’avais également pris soin de tout couvrir ou planquer dans la cuisine avant de me coucher.
Mais quelle horreur d’être soudain réveillée par une ou plusieurs bêtes que j’entendis s’aventurer jusqu’à mon lit !
De peur, de rage et surtout en plein rêve, j’avais poussé instinctivement un grand pschitt, avant de me relever subitement, pour la deuxième nuit, et tout inspecter dans la maison.
Inutile de vous dire qu’il me fallut du temps avant de retrouver le sommeil, à défaut d’autre chose.
D’ailleurs je dormis très mal même, en alerte au moindre bruit.
Le lendemain matin, montant sur la terrasse, je poussais un cri d’horreur tout en ayant une révélation.
Les souris rentraient donc chez moi depuis la terrasse.
Mais pire, pour passer outre mon dispositif, elles avaient bouffé le bas de la moustiquaire en nylon, faisant un large trou pour entrer, damned !
J’ai réglé illico le problème : opération porte close toutes les nuits dorénavant, ne voulant me lancer ni dans les frais, ni dans les travaux.
Ce serait tant pis pour la chaleur, la transpiration et tutti quanti, car rien de plus reposant que de dormir sur ses deux oreilles.
Deux jours plus tard, j’ai quand même recousu, péniblement installée à quatre pattes, le bas de la moustiquaire.
On n’allait quand même pas se laisser envahir par de vulgaires moustiques après tout ce qu’on avait déjà repoussé comme envahisseurs…
Bien à vous,
Isabelle
