« Oui à la trêve judiciaire pour tout le monde »
02/03/2017 Bonjour à toutes et à tous,
Oui à la trêve judiciaire pour tout le monde – Crédit photo izart.fr
Y’a pas de raison que ça ne profite qu’à certain-e-s…
Oui à la trêve judiciaire pour tout le monde !
Surtout que je vais sans doute grossir la cohorte des judiciables sous peu 🙁
Ben oui quoi, y’a pas de raison que ça ne profite qu’à Marine ou à François qui la réclament à grand cri, hein ?
ET MOI ! ET MOI ! ET MOI !
Et nous les sans dent qui nous faisons dégommer les gencives par ces mêmes intouchables, on voudrait aussi profiter des largesses de la justice à leur encontre !
Non mais faut arrêter le délire, sérieusement…
Voilà que ces messieurs-dames qui ont largement puisé dans les deniers publics, leurs proches et/ou entourage profitant de ces avantages, se font piquer la main dans le sac.
On dirait le petit garçon surpris en train de piller la boîte à bonbon et qui jure, les yeux droit dans les yeux, hein, que c’est pas lui 🙁
Ça va, c’est bon, faut apprendre à assumer ses actes dans la vraie vie.
Et pas seulement donner leçons et conseils aux autres, sous une façade irréprochable.
Car lorsqu’on adopte le même comportement malhonnête que celui dénoncé, fait moins le malin…
Alors oui à la trêve judiciaire POUR TOUT LE MONDE dans ce beau pays de privilégié-e-s 🙁
Z’avez remarqué comme ça brasse et comme ça jacasse ces derniers jours ?
Des éclaboussures qui salissent toute la classe politique, surtout la bien-pensante, bien fervente, bienséante…
Ben non, je n’ai jamais été reléguée femme de à la solde d’un certain homme, ministre ou député c’est du pareil au même, du reste très peu respectueux de sa moitié, quand il l’évoque.
Et c’est tant mieux , car être réduite et payée à faire la potiche aux côté de ces messieurs qui paradent tout au long d’une longue carrière politique, ça ne me laisse pas rêveuse…
Entre parenthèse, je dis femme de, mais l’actu politique nous confirme que fille de, ça a la même connotation fort peu envieuse 🙁
Et oui, toujours à la botte d’un homme…
Bien à vous,
Isabelle
