« OGM non merci ! avec Greenpeace »
08/02/2014 Bonjour à toutes et à tous,
685 guetteurs et guetteuses hier à 14:15.
Impossible de ne pas répondre à l’appel de Greenpeace, après toutes les cris d’alarme que je pousse à longueur de Petite chronique.
A votre tour de devenir guetteuses et guetteurs actifs en interpellant les marques que vous consommez pour leur demander de communiquer leurs chiffres à propos des ingrédients honteux et dangereux qu’ils emploient dans leurs produits 🙁
Car bien sûr beaucoup de marques ne veulent pas communiquer là-dessus – c’est encore plus louche d’ailleurs – alors à vous l’action et le boycott si nécessaire, en reprenant l’initiative de Greenpeace que j’ai immédiatement relayée à la grande surface locale via internet, et dont je vous communique la lettre :
Madame, Monsieur,
Je vous envoie ce message car j’ai appris que votre marque n’a pas souhaité répondre à l’enquête de Greenpeace concernant l’utilisation des pesticides et des OGM, ou que vous ne pouvez pas garantir l’absence totale de pesticides tueurs d’abeilles et d’OGM de votre chaîne de production.
En tant que consommateur, ces sujets m’intéressent et m’inquiètent. Je suis déterminé(e) à faire tout ce que je peux pour inciter le plus grand nombre d’acteurs à modifier leurs pratiques agricoles en faveur d’un modèle écologique.
L’agriculture écologique est la seule à garantir des pratiques agricoles et une alimentation saines aujourd’hui, et pour les générations futures. Elle ne tolère ni produits chimiques, ni OGM.
Nous observons vos pratiques, nous les dénonçons s’il le faut. Tant que vous ne pourrez pas nous garantir, à nous, consommateurs, l’absence totale d’OGM dans la fabrication de vos produits, et de pesticides tueurs d’abeilles dans la culture des matières premières, nous continuerons à vous interpeller.
A vous de prendre le relai, le lien est ici.
Bien à vous,
Isabelle
P.S : Des nouvelles de la personne dont je relatais les actes et propos vraiment peu citoyens dans cette Petite chronique, elle a été convoquée pour rappel à l’ordre du Code de la Route par les autorités compétentes de la commune concernée.