”Occupe-toi de tes oignons”
26/01/2022 Bonjour à toutes et à tous,
Occupe-toi de tes oignons… j’avais trouvé la réplique de cette connaissance plutôt polie face à une intervention tierce inappropriée.
Confrontée à une situation similaire, j’eus très envie, moi, de répondre occupe-toi de tes fesses…
Mais j’ai bien retenu la leçon qu’on m’a faite ensuite, et, narrant ma mésaventure, je n’ai plus parlé d’une personne en disant cette conne.
Soit, ce n’est pas politiquement correct.
J’ai rectifié en disant que son intervention était conne…
Il semble surtout que dans ce grand jeu de dupes il faut avant tout ménager les susceptibilités, c’est comme de partout, hein ?
Désolée, mais parfois c’est vraiment gâcher du temps et de la salive.
Pour mémoire, je vous rappelle le proverbe que j’ai fait mien et que je croyais anglais jusqu’à ce jour où je découvris que son auteur était… suisse.
Le mot chien n’a jamais mordu personne
Ferdinand de Saussure
Et puis des fois, au risque de choquer, ça a au moins le mérite qu’on se fasse comprendre très vite.
Ménagez donc les susceptibilités si ça vous fait plaisir, la plus courte distance d’un point à un autre, n’est-ce pas, c’est la ligne droite.
Ça doit sans doute aussi marcher avec la bouche et les oreilles non ?
Bref, ce jour j’avais l’impression de vivre un remake de ce qui se tramait dans les petits villages français où j’ai habité.
Oui, je vous l’accorde, c’est ballot de se retrouver en pareille situation quelques 8000 kilomètres plus loin…
Mais tant que l’homme sera homme, c’est pas fini, ça j’ai bien capté.
Non, ce n’est pas pareil avec les femmes, désolée.
Alors je vais mettre un peu de vin dans mon eau juste pour rire, parce que malgré tout, qu’est-ce qu’on rigole !
On ne saura jamais finalement si c’est du à l’âge, la sagesse ou un autre dérangement du cerveau lié à un processus encore inconnu, qu’importe…
Tout ce que je sais, c’est que même si des fois on fait trois pas de travers, après on va en faire un d’équerre, puis deux, etc.
Donc je fais toujours confiance, même si je ne sais pas où je mets les pieds, j’y vais.
Et qu’une chose est sûre, je ne pourrais pas être plus heureuse ici et maintenant, c’est dit !
Bien à vous,
Isabelle
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