« L’ennemi de mon ennemi »
06/12/2024 Bonjour à toutes et à tous,
Ainsi donc, l’ennemi de mon ennemi est mon ami selon les lois mathématiques en vigueur, pas que dans ce pays.
L’ami de mon ami est mon ami (+ et + donne +).
L’ami de mon ennemi est mon ennemi (+ et – donne -).
L’ennemi de mon ami est mon ennemi (- et + donne -).
L’ennemi de mon ennemi est mon ami (- et – donne +).
J’ai donc commencé à sympathiser avec les maths grâce à un compte Instagram génial qui a enfin su m’expliquer le pourquoi du comment.
Calculer des fractions, résoudre des problèmes de trains qui vont se croiser, effectuer rapidement des multiplications à plusieurs chifres, même pas peur, j’ai tout compris !
Pire, j’adore ça, moi qui ai toujours plafonné avec mon 4 de moyenne en maths, sauf le trimestre où nous avons eu un cours de soutien à la maison, mon frère et moi.
Mais pourquoi tout cela me revient-il soudain en tête ?
Et bien c’est parce que le vote des deux extrêmes, en France, a finalement réussi à déloger le Premier ministre.
L’ennemi de mon ennemi est mon allié contre le pouvoir en place, mais pas vraiment mon ami dans la réalité.
Ainsi donc, le désaveu est total pour Michel Barnier, après seulement 3 mois de fonction.
Mais que faire face à un président, qui maintenant, de tout évidence, présente des signes pathologiques inquiétants.
Un psychiatre de l’Académie italienne expert auprès des tribunaux, Adriano Segatori, parlait en 2017 déjà, d’un cas de psychopathe amoral narcissique, rien que ça.
Un autre, Marc Joly, sociologue auteur d’une thèse à ce propos, parle de perversion narcissique.
Il démontre ainsi que quoi qu’il arrive, le bonhomme en place ne lâchera rien, tout en se positionnant en victime, un classique.
Alors, va t-il falloir imposer à tout·e·s les prochain·e·s candidat·e·s ; je n’osais même pas écrire candidates, une expertise psychiatrique avant dépôt de dossier ?
Quand on voit déja l’omertà qui règne dans le milieu politique…
Ce ramassis d’agresseurs connus et dénoncés, d’auteurs de violences sexuelles envers les femmes, de violence, de sexisme, de harcèlement, ça inquiète sérieusement.
Cette expertise trouverait tout son sens dans la mesure où une personne élue est censée représenter les intérêts de son pays et de son peuple.
Alors, à quand un document clair et précis établi par un expert définissant le profil psychiatrique du ou de la postulant·e à la présidence de la République ?
Dans la foulée, on devrait doubler ça d’une attestation de non-condamnation pour corruption, violences sexuelles, conflit d’intérêts, blanchiment d’argent, usage de stupéfiants…
Bien à vous,
Isabelle