« Le virus d’Auroville »
23/04/2021 Bonjour à toutes et à tous,
Le seul virus que j’aie attrapé en venant ici, c’est le virus d’Auroville.
Mais depuis je me soigne, je vais mieux, dieu merci !
C’est à dire qu’en un an je suis venue au bout de migraines nauséeuses qui me compliquaient douloureusement la vie.
En effet, quoi de plus contrariant que de rester alitée durant 24 ou 36 heures dans le noir, avec une enclume dans la tête.
Et des remontées de bile vous arrachant les tripes, alors que vous essayez lamentablement de vous traîner jusqu’aux toilettes…
Et deuxièmement, j’ai pris le temps dont mon corps avait besoin pour soigner une espèce d’inflammation de tout l’avant bras gauche
Même si je ne saurai jamais exactement de quoi il en retourne – est-ce indispensable ? – mon corps a trouvé l’énergie et les moyens de se guérir.
Et je l’en/m’en remercie grandement !
Bon, tout ça pour vous dire que le variant anglais indien qui a l’air de tant vous affoler, en France, il nous laisse de glace, ici, en Inde.
Tout au plus, deux cas positifs dans mes relations et deux autres négatifs, match nul !
Et pour précision, ce sont des personnes qui n’avaient jamais été testées auparavant.
Donc oui, on trouve forcément plus de cas positifs ce qu’il y a de plus en plus de gens qui vont se faire tester !
Et il y a sans doute aussi de plus en plus de gens négatifs, parce qu’il est de plus en plus qui vont se faire tester !
Mais ça, personne ne nous dit combien ont été testées, ni combien de cas négatifs ont été enregistrés.
Ça s’appelle des statistiques, des vraies, quand il a comparaison et non des chiffres en l’air pour alimenter les médias…
Donc ohé la France, ne vous inquiétez pas pour moi ni pour nous, au minima on aura le nez qui coule, un coup de fièvre et quelques courbatures…
Ben oui, comme une grippe, quoi, avec éventuellement perte de l’odorat et du goût…
Non, les gens ne meurent pas à tous les coins de rue quand même.
Au fait, n’oubliez pas de prévenir vos amis du Brésil et d’Afrique du Sud.
Là-bas aussi ils annoncent un mutant spécifique, pas de jalouses ni de jaloux, le variant n’a pas de frontières ?
Au fait, quand est-ce que vous allez retrouver la vraie vie en France ?
Bien à vous,
Isabelle
