« Le quotidien en humour »
12/01/2016 Bonjour à toutes et à tous,
« – Oh là là… Mais qu’est ce que j’ai fait moi ?
– …
– Mais j’ai pris deux packs de bière, ça ne va pas ça !
– Ben, vous pouvez en conserver un, Madame.
– Ah non non non, parce que j’ai pas l’habitude de m’organiser comme ça chez moi…
– Bon, je le retire de la note, c’est pas grave. »
Elle règle ses achats et s’en va en grommelant, visiblement encore un peu perturbée par l’épisode.
Je glisse au caissier qu’il a raison, mais qu’à défaut de la conserver, elle peut aussi la boire sa bière, pas compliqué…
Sourire entendu.
Le quotidien en humour, j’adore, et surtout de bon matin.
Tiens hier, il m’en est arrivée une autre qui m’a mise de bonne humeur.
J’ai réussi à surprendre la chatte de la maison avant son réveil et le rituel qui va avec, ouf 🙂
Parce qu’au saut du lit, quand tu ouvres la porte de la cuisine et qu’une odeur pestilentielle t’envahit te pourrit les narines, ça calme.
Notre chatte, elle a de plus la particularité de se soulager de préférence à côté de sa litière.
Ou à cheval sur le bord du bac.
Des fois, je la soupçonne de faire exprès…
Dans ces cas-là, environ 6 jours sur 7, il faut s’armer de vinaigre blanc et du vapo pour lavage du sol, avant d’attaquer quoi que ce soit d’autre 🙁
Après, on peut déjeuner en paix…
Plus on est de fous, plus on rit, et pour s’occuper d’elle le matin, c’est chacun à son tour, y’a pas de raison.
C’est pas MON chat.
Bon, sauf qu’en ce moment, je partage mon tour de la semaine… avec moi-même 🙁
J’ai eu une autre raison de bien me marrer ces jours, et c’est mon doc qui m’en a donné l’occasion.
Paraît qu’il y en a plus qu’on ne le pense, des femmes qui boivent seules.
Un petit canon comme ça, le soir en rentrant du boulot, pour se réconforter.
Et du rosé de préférence, qu’il a même précisé, devant mon sourire étonné 🙂
Oh, ça va… je ne parle pas de moi !!!
Sauf que lorsque j’ai raconté cette anecdote à des connaissances, un soir, l’une d’entre elles m’a répondu comprendre tout à fait ce geste de détente.
Et de défendre farouchement l’idée que non, ça ne voulait ABSOLUMENT PAS dénoter une quelconque conduite addictive vis à vis de l’alcool.
Devant son insistance, j’ai soudain été prise d’un doute, et… on a changé de conversation !
Bien à vous,
Isabelle