« L’argent du beurre bis repetita »
21/07/2019 Bonjour à toutes et à tous,
L’argent du beurre bis repetita, serais-je tentée de dire en découvrant que Marc Veyrat fait à nouveau parler de lui.
Ah ben oui, après avoir étrenné une troisième étoile Michelin en 2018, le voilà qui la perd l’année suivante…
Et décrète purement et simplement, après avoir gonflé toute sa com autour de cette 3 ème étoile, de rendre ses deux étoiles !
Oui, c’est difficile d’être et d’avoir été, mais c’est la loi du milieu gastronomique.
Certain·e·s se contentent de surfer sur la vague et faire au mieux leur boulot.
D’autres voudraient être toujours sur la ligne de crête.
Certes, plus dure sera la chute selon que l’on place plus ou moins haut son ego.
Cuisinier ou pas, c’est du pareil au même pour tout le monde.
Dépression, tentative de suicide, menaces… l’exposé de la situation par ce monsieur relève sans doute de la pathologie.
Alors même qu’il est l’ami des plantes et leur rend visite paraît-il en véhicule tout-terrain ?
Est-il vraiment aussi affecté dans son métier vu ce qu’il exige en signe de protestation ?
Plutôt que de vouloir renoncer à ses deux étoiles, peut-être pourrait-il ne plus figurer dans le dit guide ?
Ah ben oui, le choix des étoiles ne lui appartient pas.
Alors que celui d’avoir voulu figurer un jour dans le guide, oui.
Et c’est sans aucun doute ce qui a contribué à son succès hors des frontières locales.
Donc difficile de cracher dans la soupe, hein ?
Alors l’argent du beurre bis repetita, on commence à connaître la chanson avec ce monsieur qui traîne toujours des casseroles.
Bon, au cas où Monsieur aurait l’intention de changer de crèmerie, y’a un amateur de homard qui cherche peut-être un bon cuisto ?
Bien à vous,
Isabelle