« La seule chose possible actuellement »
14/07/2020 Bonjour à toutes et à tous,
La seule chose possible actuellement… c’est d’enregistrer mes Petites chroniques sur Google keep !
En vue de les diffuser ultérieurement sur mon blog bien sûr, mais avec du décalage.
Aucun réseau depuis ce week-end, apparemment c’est général.
Les orages peut-être qui commencent à bien s’installer en vue de la mousson future ?
Ah ben oui, parce que l’air de rien, ça fait 10 mois que je suis à Auroville, dont 4 de confinement !
Bon, à part ça, ce ne sont pas les occupations qui manquent ici.
Comme nous avons décidé avec mes collègues de travail de minimiser l’enfouissement des déchets non recyclables, y’a de quoi faire.
Dans un premier tri nous mettons de côté tous les vêtements et le textile qui peuvent repartir dans le circuit second hand.
Ensuite, deuxième tri du textile qui ne peut pas repartir en deuxième main.
Il est soit recyclé pour la mécanique, tri réservé aux tissus et vêtements troués et tachés mais de dimensions acceptables.
Et nous récupérons au passage sur ces derniers tous les boutons, scratchs et zip, éventuels élastiques.
Soit, troisième tri, je découpe proprement des carrés de tissu de toutes dimensions.
Issus de tous les textiles qui ne sont pas aptes à être remis dans le circuit mais partiellement exploitables.
Parallèlement, nous faisons aussi un tas de toutes les lanières, brides, pièces longues et fines réutisables comme liens pour nouer des sacs.
Un autre tas est constitué avec des pièces de tissus de très petites dimensions, pour orfèvres d’art textile only ?
Les pièces de tissu découpées et les textiles pour second hand sont ensuite passés à la machine par nos soins, of course.
Nous projetons de stocker tout cela, une fois séché et plié, pour le ressortir lors du prochain Openhouse.
Vu le succès de la première édition, il semblerait que nous recidivions tous les mois…
Après avoir réajusté le tir, of course, parce que notre unité est un service et non pas un libre-service.
Mais je réserve ça pour vous le raconter dans une prochaine Petite chronique ?
Bien à vous,
Isabelle