« La nature vous emmerde »
11/03/2015 Bonjour à toutes et à tous,
Entre terre et ciel et eau
Ouf, on a échappé au pire.
Les humains avaient pris idée d’aller faire une expédition en harmonie avec la nature, dixit Mr Bodin…
Ben ça se fera pas, et la nature pourra continuer à respirer en paix, puisque l’invasion humaine et mécanique fait machine arrière.
Un curieux brassage dans mes cogitations, a associé cette info à la récente découverte concernant l’origine du VIH-1.
De études ont donc bien confirmé que le virus du sida a été transmis du chimpanzé et aussi du gorille à l’homme.
Pourquoi personne n’a encore programmé la destruction massive de tous les chimpanzés et consorts sur terre pour endiguer la prolifération du fléau et laisser l’homme accomplir son oeuvre ?
Ben oui, les explications de Science et Vie sont assez explicites quant aux origines de la contamination, risque accru en outre à cause de la déforestation, qui rapproche encore davantage les animaux sauvages des populations humaines.
Dans cette même Petite chronique, je propose aussi, à titre préventif, de couper tous les arbres au bord des routes, pour éviter que les voitures et les motos ne s’y encastrent.
Le prochain programme sera de vider tous les lacs pour éviter que des gens ne s’y noient.
Déjà que du côté de Saint Cyr au Mont d’Or (69), des zélés continuent de jeter des pavés de javel dans tous les lavoirs communaux…
Pour parer à une quelconque prolifération de grenouilles sans doute ?
Bonjour la nappe phréatique…
Même combat avec les OGM, l’homme pollue et détruit au prétexte de nourrir la planète.
Et cela lui donne pleins pouvoirs aussi, toujours le même problème…
Mais vous n’entendez pas dans tout ce vacarme environnant, que la nature vous emmerde !!!
Elle n’a pas besoin de l’homme pour se régénérer et croître.
Alors que l’homme, depuis quelques siècles, s’est donné le rôle de dompter une nature qu’il a qualifiée de sauvage.
Série merdique à la télé comme à l’échelle planètaire…
Je remercie la nature de ce beau spectacle qu’elle m’a offert hier encore, pourvu que ça dure !
Bien à vous,
Isabelle
