« Kirikou et la Saint Valentin ne font qu’un »
15/02/2020 Bonjour à toutes et à tous,
Kirikou et la Saint Valentin ne font qu’un ???
Même si Kirikou n’est pas grand mais il est vaillant, Kirikou est petit et c’est mon ami.
Inutile de vous dire qu’en partageant le thème du film, y’avait bien un de mes kids qui allait tomber dans le panneau.
Et bien sûr M. n’a pas manqué de corriger les paroles que je fredonnais, désolée pour les rimes, hein ???
N’empêche que ce film qui date de 1998 (!) n’a pas pris une ride.
Et quelle bonne idée (ou coïncidence ?) de l’avoir programmé pour la Saint Valentin à Auroville.
Ben oui, si vous vous rappellez de la fin, c’est très touchant toutes ces femmes et ces hommes qui s’étreignent ???
Bon en repartant sur mon cyclo-mother – une manie j’vous dis – j’ai pas manqué de saluer le gardien de nuit posté sur le parking des deux-roues.
Il enfilait ses chaussettes et son anorak, après avoir bien étendu sa chemise sur le dossier du fauteuil en plastique.
Lui-même garni de deux oreillers, tout comme le second posé à côté.
Sa gamelle vidée il était en train de la refermer, secouant aussi son thermo pour en vérifier le contenu.
A 21:30, heure à laquelle je regagnais mon lit, il allait lui, passer la nuit calé sur ces sièges, pour surveiller les lieux.
Atteignant le portail de ma résidence, je saluais là aussi un autre gardien qui démarrait sa nuit.
Et qui disposait du même système de couchage.
Mais à la différence près que ce dernier bénéficiait d’une petite guérite en dur, juste de quoi y glisser deux fauteuils.
Je sais que rien ne remplace la présence humaine en matière de sécurité.
Et qu’en Inde, ce système de gardiennage fournit du travail à de nombreuses personnes, femmes comme hommes, de jour comme de nuit.
N’empêche que ça me fend le cœur de savoir que leur sommeil va être constamment interrompu par le ballet des taxis ou les retours de soirée tardives…
Bien à vous,
Isabelle