Petite chronique « Je suis un couteau suisse…

« Je suis un couteau suisse »

13/05/2021 Bonjour à toutes et à tous,

J’en ai rêvé, ils me l’ont offert ❤️

Mon Victorinox personnalisé, véritable couteau suisse, envoyé de France est bien arrivé en Inde !

Happy mother ??

Kids, family, friends je vous aime ?????

Je suis, je suis… je suis un couteau suisse !

En fait il me ressemble tellement ?

Multi-tâches, multi-usages, multi-média, multi-risques, multi-disciplinaire, multi-variée, multicolore, multi-culturalisme, multi-fonctions…

Et alors là, ça m’en a bouché un coin dites-donc, gravé en plus, c’est le début de la célébrité au moins.

Un jour, c’est vrai que j’avais lancé ça comme ça, moi aussi je veux un couteau suisse !

Parce qu’en vérité j’avais bavé devant celui que L. avait sorti quand elle était venue nous voir ici, l’année dernière.

Et que je rêvais de troquer mon Opinel chéri et vert contre quelqu’autre plus fonctionnel.

Ben non, je ne suis pas venue avec ma caisse à outils bien garnie.

Pas cette fois encore, dommage…

C’est ça oui, juste quelques outils de bricolage de premier secours.

Mais je vous jure que les autres me manquent cruellement.

Surtout que j’ai toujours eu des outils performants et bien entretenus, qui coupent, pincent ou enfoncent au quart de poil.

Ah ben non, c’est pas le vernis à ongles ni le rouge à lèvres qui me manquent, faut s’adapter à la réalité du milieu dans lequel on évolue…

Bref, pour l’instant je le couve du regard mon p’tit Victorinox en bois de noyer, mais ne vous inquiétez pas, il va bientôt passer à l’action.

Tout comme moi qui passe des fourneaux aux aiguilles, tout en mettant un coup de marteau par ci ou un coup de couteau par là…

Mais non, il ne s’agit pas d’un meurtre, juste de quelques boutures à prélever.

Ensuite, m’en irai ramasser quelques fleurs pour un petit bouquet, mettre un tour de vrille pour poser une vis, ou upcycler une ruche pour les abeilles qui s’affolent.

Bref, je suis un couteau suisse, française de naissance, italienne de coeur, allemande de tête, espagnole de fête… et indienne d’adoption.

Bien à vous,

Isabelle