« Je ne m’appelle pas Florence »
21/11/2023 Bonjour à toutes et à tous,
Non, je ne m’appelle pas Florence, même si la tentation de m’appeler ainsi est toujours aussi grande pour elle !
Alors à force de l’entendre m’en parler, j’ai bien fini par lire la biographie de Florence Nightingale, née à Florence (I) en 1820 et morte à Mayfair (UK).
Parce que, m’a t-elle dit, j’ai comme ça des flash avec certaines personnes, et j’ai eu immédiatement ce prénom qui m’est venu à l’esprit, puis cette femme, en te voyant.
Tout d’abord j’ai été très honorée d’être comparée à cette grande dame.
Paraît-il que ma façon de vouloir améliorer les choses, mon intense activité, ne seraient pas sans rappeller son œuvre.
Surprenante comparaison tant cette femme a atteint l’excellence dans des domaines aussi variés que la santé, les mathématiques, les statistiques et… le féminisme, alors autant dire ses œuvres.
La première information qui m’a fait tilt, c’est d’apprendre que le grand-père maternel de Florence fut l’un des premiers britanniques à faire campagne pour l’abolition de la traite négrière.
La deuxième, c’est sa croyance en le progrès social et l’importance de se mettre au service de la communauté.
La troisième, c’est d’apprendre l’avant-gardisme de Florence en matière d‘émancipation des femmes, résistant au mariage et désireuse d’embrasser une carrière non destinée à son statut social.
La quatrième, ce serait son attirance pour les ordres hospitaliers et les ordres en général, comme j’ai toujours eu une connexion particulière avec les carmélites.
Or il se trouve qu’après avoir confié cela à mes deux interlocutrices du jour, celles-ci à leur tour me dirent qu’elles éprouvaient la même attirance pour cet ordre depuis leur jeunesse !
Leur conclusion, qui nous fit bien sourire quand même, serait que nous nous soyons déjà côtoyées dans un Carmel, mais ça c’était dans une autre vie, bien évidemment.
Bien à vous,
Isabelle
