« Je ne chante plus mais je chante plus »
12/06/2022 Bonjour à toutes et à tous,
En vérité, je ne chante plus mais je chante plus !
Comprenez que j’ai rejoint récemment un autre groupe de chanteuses et chanteurs, tout aussi informel que le dernier en date.
Fidèle à mon habitude, je chantais donc le dimanche soir avec le Mantra Choir lorsque d’autres voix se sont élevées ailleurs, dans le noir.
Voix et instruments unis pour appeler l’Esprit d’Auroville, impossible de résister à l’envie de chanter ensemble pour la même cause.
Mon seul dilemme, c’est de ne pouvoir chanter avec ces deux groupes dont les créneaux horaires se chevauchent, sans léser l’un ou l’autre.
Mais puisqu’un ne se produit que tous les quinze jours, je pense participer aux deux, en alternance.
Ce soir-là, l’accompagnement de guitares, entrecoupées de solos de bansuri, vînâ et un curieux instrument était des plus agréables.
Pour en revenir à cet instrument jamais vu jusqu’alors, malheureusement aperçu dans le noir et très rapidement, j’avoue qu’il m’a intriguée.
Imaginez un genre de flûte à deux corps, plutôt de formes ovales, en terre visiblement, et dont la mélodie semble doublée d’un bourdon !
J’en conviens, ça doit être dur à imaginer… mais peut-être en savez-vous plus ?
Bon, toujours est-il que je n’avais jamais non plus entendu cet instrument auparavant, et le son produit m’a fortement impressionnée.
Une manifestation nous surprit, après ce beau moment de partage, alors que, nos mains enlacées les unes dans les autres, nous formions un cercle silencieux.
La vînâ se mit soudain à vibrer sans aucune intervention humaine…
Bien à vous,
Isabelle
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