« Je n’ai pas eu le temps de tout vous raconter »
07/12/2022 Bonjour à toutes et à tous,
Je n’ai pas eu le temps de tout vous raconter, mais c’est comme ça, le temps est passé trop vite !
Même qu’il a visité Mahabalipuram pour la seconde fois, ne nous rappelant ni l’un ni l’autre que c’était du déjà vu, passons…
Bon, on a quand même pu faire une variante et se balader tranquillement dans la ville, vide de touristes en semaine, pour aller à la rencontre des artisans.
D’ailleurs, c’est dans l’arrière boutique de l’un d’entre eux que j’ai pu satisfaire un besoin pressant, après avoir traversé la cour des miracles dans le vacarme et la poussière des sculpteurs de pierre.
Difficile d’imaginer que des personnes puissent travailler dans de telles conditions sans aucune mesure de sécurité.
Ni casque, ni paires de gants, de lunettes, de protections auditives, de masques ou de chaussures de sécurité, j’ai halluciné en me frayant un passage bien dangereux jusqu’aux WC.
Le tour de la ville effectué, nous avons eu la chance de trouver un vendeur de jus de canne à sucre dans la rue.
Je dis la chance parce que c’était l’un de ses objectifs de ramener de la canne à sucre pour la planter, de la noire, qui plus est.
Alors on a vite et bien négocié la transaction, puis après le verre de pur jus, il est reparti avec sa canne d’un mètre en main !
En somme, si je me souviens bien, il a rempli ses trois objectifs en Inde, ce qui n’était pas évident, vu que sa requête couvrait différentes saisons…
L’un était de ramener des noix de coco germées, l’autre des palm fruits germés et le troisième de la canne à sucre.
Je pense l’avoir emmené dans tous les endroits qui auraient pu lui plaire, botaniquement, géologiquement, aquatiquement et gastronomiquement parlant !
Dommage que sur ce dernier point, après deux tentatives infructueuses, nous n’ayons pu déguster un appam coconut milk dont il avait gardé un souvenir impérissable…
Mais il a pu tester différents plats indiens, du plus au moins épicé, pas toujours facile de trouver le juste équilibre pour un palais non exercé !
Voilà, je glisse aussi ici notre très agréable visite à la forêt d’arbres pétrifiés que je m’étais promis d’aller voir un jour, à Thiruvakarrai.
Franchement, ça vaut le détour de par le calme qui règne en ce lieu libre d’accès et où reposent de grands arbres pétrifiés depuis environ 20 millions d’années, respect.
Et profitez-en pour admirer le temple en pleine restauration, celui-ci étant bien plus populaire auprès des locaux que le parc d’arbres pétrifiés lui-même.
Bien à vous,
Isabelle
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