« J’ai trié Google photos »
29/09/2024 Bonjour à toutes et à tous,
A défaut de pouvoir trier mes albums photo version papier, j’ai trié Google photos et mes albums numériques.
J’ai mis un de ces paquets de clichés à la poubelle, c’était assez impressionnant mais nécessaire.
Voilà, c’est l’inconvénient des avantages du numérique, on stocke inutilement des tonnes de données qui sont énergivores et génératrices de pollution…
Bref, ça m’a quand même fait bien rire de partager avec mes kids des photos qui datent parfois d’une dizaine d’années quand même !
C’est comme ça que j’ai retrouvé et partagé la photo de mon chouette vélo dont je me suis séparée il y a bientôt dix ans…
Après cela, j’ai essayé de dormir mais comme j’avais trop stimulé mon cerveau avec l’italien sur Duolingo, plus moyen de fermer l’œil.
Alors j’ai pensé à l’un de mes ex, allez savoir pourquoi ?
Comme il était relativement plus âgé que moi, je me suis dit peut-être qu’il est mort…
Ah si, je me souviens soudain pourquoi j’ai pensé à lui.
Il possédait un agréable studio à la montagne où nous avions d’ailleurs passé un très bon séjour.
J’adore la montagne depuis toute petite.
Pourtant, ça fait 5 ans que je vis en plein climat tropical, à approximativement à 36 mètres au-dessus du niveau de la mer, elle-même distante d’environ 5 kilomètres.
Du temps donc où nous étions amants, cet homme m’avait dit que ce studio, il le mettrait pour moi dans son testament.
J’avais trouvé ça plutôt sympa et des décennies plus tard, je me dis qu’il a peut-être tenu sa promesse même si la vie nous a séparés, on peut toujours rêver.
Si je pensais donc à tout cela c’est parce que j’ai une amie qui aime à dire qu’elle a fait vœu de mourir pauvre.
Entre nous, je ne lui souhaite pas de connaître la pauvreté, mais c’est toujours le paradoxe des riches ça.
Comme Darmanin qui aurait pu s’appeler Moussa…
Il n’y a que les nantis qui peuvent jouer sans honte aux pauvres ou aux immigrés.
Mais voilà, avec ce studio en héritage, j’aurais pu prétendre être riche au moins une fois dans ma vie, et n’en aurais eu aucun complexe.
Suite à ces pensées éparses, mon esprit a encore fait une autre drôle de connexion… je vous raconte ça dans une prochaine Petite chronique !
Bien à vous,
Isabelle
