« Il reste le gâteau au chocolat »
02/06/2023 Bonjour à toutes et à tous,
Quand rien ne va, heureusement il reste le gâteau au chocolat.
J’ai ressenti cette soudaine envie il y a trois jours, de me satisfaire les papilles.
Ah oui, je suis à cours de tablettes de chocolat noir bio français depuis quelques mois déjà.
Et j’avoue que l’énergie du chocolat me manque parfois pour affronter le quotidien.
Ah non, je ne vais pas faire ma recette de gâteau au chocolat pour moi toute seule.
J’ai attendu une journée, pensant que l’envie me passerait, comme d’autres fois, mais rien du tout…
Bon, qu’à cela ne tienne, j’ai fait un arrêt à la boulangerie en rentrant du boulot, en salivant presque d’avance.
Manque de bol, il n’y en avait plus, même pas la version second choix, avec pépites et coco, sans gluten également.
Qu’à cela ne tienne, j’avais par chance une autre adresse où m’arrêter sur le chemin du retour.
J’ai posé puis verrouillé mon vélo, pris mon sac à dos, poussé la porte du couloir de l’établissement, et… me suis pris les pieds dans une caisse à outils.
Ah merde, les grilles de la vitrine étaient tirées et il n’y avait personne qui consommait.
J’en conclus que c’était fermé pour cause de travaux sans doute.
C’est seulement aujourd’hui que j’ai réalisé.
Cette boutique était certainement fermée comme tant d’autres le jeudi ; on se demande encore pourquoi, parce que le vendredi matin elle était ouverte à nouveau.
Il n’empêche que je suis rentrée bredouille avec une envie de chocolat doublement renforcée…
Le troisième jour de mon envie ; elle ne m’avait toujours pas lâchée entre-temps, j’ai changé de tactique.
Et finalement tant mieux, parce que je crois que la lune, elle a mis le paquet côté dissonance dans les aspects, si vous voyez ce que je veux dire
Avant de me pointer au boulot, j’ai marqué un arrêt improvisé ; je n’avais pas pris de boîte, pour m’offrir the tranche de gâteau au chocolat.
J’avais heureusement dans mon sac un bocal à vis propre et alors, une fois arrivée au travail, à la guerre comme à la guerre, j’ai glissé la tranche dedans.
Plus délicat pour la sortir que de l’enfiler entière, et pour le coup c’était moins présentable, mais mon ventre s’en moquait bien.
Vous voulez que je vous raconte la meilleure ?
C’est qu’une fois douchée et mon repas pris, j’ai oublié mon dessert.
Tout simplement parce que ce n’est pas dans mes habitudes…
Alors je vous dis pas comme c’était encore meilleur de tomber dessus en ouvrant le frigo pour ranger les autres plats.
Voilà, je suis gonflée à bloc pour la suite des évènements, next !
Bien à vous,
Isabelle