« Il pratique le chant magnétique »
10/09/2021 Bonjour à toutes et à tous,
Dès la deuxième séance j’en eus la certitude.
Il pratique le chant magnétique.
Ce sont ses mouvements de mains, alors que nous interprétions le Om̐ final, qui me mirent sur la voie.
Oui, c’est ça, il procédait avec ses mains de la même façon que Daniel Paul, le guérissseur de Besançon.
Je fus tellement travaillée et prise aux tripes après ces deux rencontres que je voulus en savoir davantage.
Mes recherches me confirmèrent que Narad, cet ancien disciple de Mère avait effectivement reçu une mission bien précise de la part de celle-ci.
Tu dois faire descendre une Musique Nouvelle, lui avait-elle précisément commandé, à travers le Om̐.
Voilà que je comprenais soudain tellement mieux d’où venait cette immense et nouvelle énergie qui m’engloutissait toute entière dans la nuit noire de l’amphithéâtre…
Indescriptible, impalpable, transcendante, et qui tombait précisément d’en haut.
Ce qu’il y a de bien à Auroville, c’est que chacun·e peut y faire ses expériences.
Ou pas.
A vous de sentir, de saisir, de vous laisser guider et vous perdre jusque dans vos plus intimes retranchements.
Si j’avais su qu’un jour que je puisse tant recevoir…
Sincèrement il ne se passe pas une journée sans que j’aie remercié Mère de m’avoir guidée ici, bien contre mon gré à la base !
Om Choir est appelé à se reproduire à l’identique de partout sur terre pour vibrer à l’unisson et apporter une énergie nouvelle au monde.
Impressionnant, terriblement impressionnant, troublant.
Et tandis que je partage cette nouvelle expérience du Om̐ Choir le mardi soir, je n’en continue pas moins de retrouver le Choir de Mantra tous les dimanches.
Dimanche dernier, pour éviter la grosse mousson qui s’est soudain violemment abattue, nous nous sommes réfugiés dans un simple corridor.
Et nous avons entonné les mantras dans la quasi pénombre.
Cette ambiance surréaliste n’a pas échappé aux ingés-son qui filmaient ce jour et s’étaient réfugiés au même endroit.
Ils se sont à leur tour joints à nous, et ont posé leurs micros au milieu de l’assemblée, tout serrés que nous étions, assis sur un banc ou à même le sol.
On eût dit que nous vivions une quelconque scène chamanique des temps anciens à psalomier ainsi nos mantras…
Comme commenté une amie à juste titre, merci Mère, j’ai quitté un chœur de chant pour en retrouver deux !
Bien à vous,
Isabelle