« Il faut savoir fermer une porte »
23/11/2016 Bonjour à toutes et à tous,
Il faut savoir fermer une porte pour qu’une autre s’ouvre, me dit V. au moment de nous quitter.
Magnifique expression qui vient clore la rencontre de ce soir.
Et dieu sait pourtant que c’était dur de descendre à Lyon ce jour-là, avec alerte rouge pour le vent, la pluie qui s’en mêlait et la fatigue de la journée, tout bonnement !
Voiture+métro+métro+pédibus, 45 minutes plus tard, emportée par mon élan, je dépasse le local associatif mentionné dans le mail.
Hop… 5, 4, 3, on reprend le film à l’envers, je pousse donc cette nouvelle porte et me glisse dans le dernier recoin de libre, parmi une douzaine de personnes présentes.
Bonjour, nous faisons un tour de table pour nous présenter, c’est à toi, mais d’abord comment vas-tu ? J’adooooore être accueillie de la sorte, merci V. pour ta bienveillance 🙂
C’est important de démarrer toute chose avec une telle intention de respect mutuel…
Ah ben non, je doute qu’il soit tombé dedans quand il était petit, notre coordinateur local des Oasis, un programme mis en place par les Colibris.
Il a été formé et très bien même, tout comme S. qui était aussi présent, en temps que Compagnon Oasis, lui, un nouveau métier auquel ont été formé-e-s 16 femmes et hommes.
Bon, je ne vais pas tout reprendre pour ceux qui attrapent l’info en route, regardez plutôt de ce côté et même de celui-ci pour comprendre le pourquoi du comment j’en suis arrivée là 😉
Et même si le chiffre annoncé est de 90 projets Oasis qui capotent pour 100 en cours, le nombre total de projets déposés a dépassé toutes les espérances…
C’est dire qu’il y a des passionné-e-s dans ce pays !
Et pas que par les primaires…
Donc, des personnes motivées en marche, porteuses et porteurs d’une belle énergie, c’était déjà une première chouette constatation.
Vers quoi vont-elles au juste, allez-vous me demander ?
Ben ça, c’est la surprise qui vous attend au détour du chemin si vous y êtes ouvert-e-s 🙂
Festival, visites, chantiers participatifs, cafés ceci, ressources cela… comme un feu d’artifice, le brassage d’idées en pop corn a été impressionnant.
En tous cas, les dates sont prises, et quelle joie de se quitter, non pas plombée, mais légère légère, légère… même sous la pluie !
Au fait, j’ai oublié de vous dire, le dénominateur commun à tous les projets Oasis qui capotent, c’est… le facteur humain.
Bien à vous,
Isabelle