« French hot-dog ou matelas et sommier »
16/08/2019 Bonjour à toutes et à tous,
Affiché dans toutes les campagnes environnantes, en ce moment au menu c’est French hot-dog ou matelas et sommier.
Je m’explique, de partout dans les villages d’Occitanie on traque les touristes potentiel·e·s durant les deux mois d’été.
Avant et après c’est vraiment un peu le désert…
Donc le marchand de matelas et sommier accroche au fur et à mesure ses pancartes aux arbres des villages qu’il va visiter.
Même si demain ce n’est pas samedi comme mentionné dans la pub.
Qu’importe, il sera prochainement sur la place de votre village avec, dans sa remorque, deux exemplaires de chaque.
Je me suis quand même demandé combien de personnes attendaient impatiemment sa venue une fois par an 🙁
Remarquez, ça laisse du temps pour réfléchir à renouveler ou non son matelas et son sommier…
L’autre attraction de l’été ce sont les traditionnelles fêtes de village, avec barbecue, canopy et saucisses au mètre.
Dans un des villages traversés ce 15 Août, sur la pancarte, c’était bien écrit à la craie French Hot-dog.
Presque tous les menus d’Asie proposent des French Fries, mais alors les French Hot-Dog… j’avais jamais vu !
Et pourtant, après quelques recherches sur Google, j’ai trouvé plein de variantes du Hot-dog… très instructif tout ça 🙂
Donc ce jour-là, j’étais partie pour aller faire réviser mes montures de lunettes, après un an de bons et loyaux services.
Et prévu aussi de passer au garage, en rentrant pour faire la pression des pneus de la voiture.
Sauf qu’avec J. en villégiature prolongée dans le Sud, arrivés à destination, nous nous sommes cognés le nez à la porte de l’opticien.
Pas un pour racheter l’autre, en mode indien, nous étions partis sans réaliser que les jours fériés en France, bla bla bla…
Mais expliquant ma mésaventure à une amie rencontrée en fin de matinée, elle fut très étonnée, n’ayant pas non plus percuté pour la date !
Ce fut ma seule consolation de la journée, car d’autres (mauvaises) surprises se préparaient déjà, à suivre…
Bien à vous,
Isabelle