« Exploser la situation »
26/03/2015 Bonjour à toutes et à tous,
Ce matin , lorsque j’ai ouvert mes volets et que j’ai vu un 4×4 rutilant aux vitres teintées stationné devant le garage, il m’a fallu très peu de temps pour comprendre le danger.
J’ai immédiatement crié à tout le monde, en plein sommeil, de quitter la maison.
Et je me suis réveillée juste avant l’explosion.
C’est vous dire dans cette Petite chronique, le climat qu’il règne en ce moment.
La dernière info qui m’a fait monter l’adrénaline, c’est le coup de fil, hier soir, d’une intervenante qui agissait selon le protocole mis en place par le cadre de l’hôpital.
Genre, elle ne comprenait pas la raison de son intervention auprès de ce monsieur qui allait bien, et qui du reste ne semblait pas trop apprécier sa présence, donc elle ne pouvait pas aller contre la volonté des personnes, vous savez…
Et qu’elle en référerait à son secrétariat pour modifier le planning dès le lendemain matin.
Bon, j’ai rectifié le tir et anticipé en alertant l’équipe médicale initiatrice du protocole de maintien à domicile, dès que je me suis remise de l’explosion du 4×4 posté devant la maison…
Effectivement, comme me l’écrit M., je pense qu’une bonne cure de sève de bouleau va s’avérer extrêmement efficace cette année !
Et puis, l’air de rien, j’ai encore du pain sur la planche avec mon MOOC qui est en phase terminale, et le défi de prendre part au challenge en réalisant une vidéo, pour clore la formation.
A part ça, je n’ai toujours pas trouvé la formule magique pour faire rentrer 25, voire 26 heures dans 24, suis preneuse de tout conseil ou tuyau allant dans ce sens…
Mais en attendant, les heures et les années tournent, et la rétrospective de tout cela se manifeste parfois de façon inopinée.
Pour reprendre mon expression favorite, il y a ceux qui disent et ceux qui font.
Un voyage dans le temps est excellent indicateur du cheminement de chacun.
Fort est de constater que là où autrefois vos pensées ou actions ont pu être largement et ouvertement décriées, elles prennent toute leur valeur avec le temps.
La violence est le dernier refuge de l’incompétence. Isaac Asimov
Bien à vous,
Isabelle