« Du temps des cathédrales »
04/01/2024 Bonjour à toutes et à tous,
Alors voilà comment, après une courte présentation ; mais en fallait-il vraiment davantage, nous en sommes venus à parler du temps des cathédrales et des basiliques.
J’ignorais tout alors de cet alignement Saint-Michel, qui part de l’île irlandaise de Skellig Michael jusqu’en Israël.
Grande fut ma surprise de découvrir que j’étais déjà passée et avais même vécu sur cet axe symbolique qui relie différents lieux de culte et autres sites sacrés en relation avec l’archange.
Du Mont Saint Michel, en France, en passant par des lieux comme Paray le Monial, Ars, Cluny, en Italie Perugia, et bien sûr Assise, tous ces noms m’étaient familiers.
Et encore, je ne me suis pas plongée sur le sujet en détail, parce que j’y aurais passé la nuit à tout éplucher !
Oui, j’avais bien ressenti l’énergie de ces lieux, indéniablement, et quel plaisir d’évoquer cela ensemble, puisque tel était son désir de continuer à découvrir les cathédrales et autres lieux sacrés situés sur cet axe.
Ensuite, quand la connexion est faite, vous connaissez le process, on ne peut plus enrayer la machine !
De nos expériences personnelles partagées émergeait un réseau parallèle, initiatique celui-ci, qui permit d’échanger à un autre niveau de connaissances.
Fait tellement rare que se connecter ainsi à une personne dont on a en partage autre chose que de l’ordinaire à échanger.
A la question qui me fut posée, je répondis par la négative, car il ne me semblait pas, comme il m’était suggéré, que nos perceptions décuplaient avec l’âge.
A mon sens, c’est plutôt que l’âge nous autorise à nous reconnecter avec nous-mêmes, au fur et à mesure de nos expérimentations personnelles.
Ainsi, l’enfant, être accompli et intact, va rapidement passer par le broyeur du monde adulte, lequel réduira ses potentiels, rêves et connaissances à néant, au nom d’une normalité réductrice.
C’est la formidable envie de se reconnecter coûte que coûte à son enfant intérieur qui nous mit d’accord sur la force déployée dans nos parcours d’adultes.
Bien à vous,
Isabelle