« Du haut de la canopée »
05/08/2022 Bonjour à toutes et à tous,
Du haut de la canopée 12000 ans vous contemplent.
Ah non, ça c’était au fond de la grotte, à l’âge de 12 ans, vous imaginez le rapport au temps, vertigineux…
Mais notre dernier coup d’œil fut pour embrasser l’éolienne qui ne tournait d’ailleurs pas, avec ses airs de grande roue figée.
Voyage dans le temps là aussi, avec Lyon en fond d’écran, avec pour moi, la Place Bellecour ou trône la grande roue et le quartier de la Croix-Rousse où avait vécu sa mère.
Et soudain un jour, les noms de rues tant de fois évoquées en famille qui passent sous vos yeux, comme Grange Blanche en station de métro, bienvenue dans la réalité…
On aurait pu encore longtemps évoquer nos vies d’avant avant, avec en point commun de ne pas croire au hasard.
Je suis sûre qu’au bout d’un moment, on aurait fini par trouver le point de rencontre.
Tout avait commencé autour d’un petit déjeuner agréablement partagé par hasard, si si, et l’invitation à se revoir.
Mais cette fois-ci, j’ai changé le refrain en souhaitant transformer l’essai.
Ceci dit, je ne suis pas experte en rugby mais après l’essai, il me semble que l’action appelle la transformation.
Rebondissant en prenant par la fin la liste des on pourrait se revoir un de ces jours pour caler un rendez-vous, j’ai agi immédiatement.
Grand bien m’en a pris, nous en a pris.
Sinon je ne saurais rien des baleines peuplant les fonds marins et encore moins de l’histoire du berger qui a déposé les armes…
C’est fou d’ailleurs ce qu’on a déjà emmagasiné comme histoires !
Vertigineux serait un mot plus juste.
Mais que dieu nous garde de la folie, il a bien assez à gérer en ce moment !
Bien à vous,
Isabelle
[dp_product id=1 domain=0]