« Douceur de vivre dans l’air espagnol »
15/10/2018 Bonjour à toutes et à tous,
Était-ce l’air marin ?
L’excellent repas servi en terrasse par La Otra Parte ?
Une fois de plus les orangers chargés de fruits ?
Était-ce l’effet Sud du Sud ?
Petit à petit, je me laissais prendre par la douceur de vivre dans l’air espagnol en parcourant Valencia.
320 jours d’ensoleillement par an et des températures qui ne descendent que très rarement en dessous de 5° l’hiver, ça aide 😉
Tout d’abord, j’ai cru que les mamies faisaient ça pour le fun, en rentrant de promenade.
Et puis voyant que les très nombreux et verdoyants parcs de la ville en étaient tous équipés, j’ai changé de point de vue.
Oui, c’est bien la réalité, ils disposent d’appareils de fitness en accès libre, version femme ET version homme, véridique…
J’ai aussi croisé beaucoup de femmes faisant leur footing en ville à 22:00 passées et des quantités d’enfants en tenue de sport dès la sortie de l’école.
A tel point qu’on peut se demander si ce n’estpas une tradition propre à la ville ?
Enfin l’effet est d’autant plus flagrant qu’un impressionnant et efficace réseau cycliste quadrille la ville.
Sur les trottoirs, moultes personnes poussent devant elles des caddies bien remplis et très stables sur leurs rangées de roulettes.
Contrairement à chez nous, aucun risque de se déglinguer le dos à le tirer…
En outre, connaissez-vous l’utilité du compte à rebours qui s’affiche aux feux tricolores ?
Cela permet aux piétons de savoir de combien de temps ils disposent encore pour traverser sur les bandes blanches, génial non ?
Le 12 Octobre, jour de mon départ, c’était Fête Nationale en Espagne.
Par conséquent tous les commerces sont fermés dans le pays pour célébrer la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb.
Dommage, je ne pourrai assister au défilé militaire en présence du roi et de la famille royale…
Le plus remarquable c’est que ce monsieur était au service de l’Espagne était bien d’origine italienne comme son nom l’indique Cristoforo Colombo 😉
Ah oui, toujours cette sacro sainte habitude de franciser le nom des villes étrangères en passant par celui des pays et même des gens.
Bien à vous,
Isabelle