« Demain j’achète une bougie »
08/06/2023 Bonjour à toutes et à tous,
Demain j’achète une bougie, une grosse bougie même, parce que j’ai épuisé tout mon stock de bougies chauffe-plats.
Faut dire qu’à la vitesse où se suivent les coupures d’électricité, et avec la batterie externe qui ne remplit pas son rôle, je passe le plus clair de mes soirées dans l’obscurité totale.
Normalement, la batterie externe devrait prendre le relais en cas de coupure pour au moins quelques jours, me dit l’électricien.
À ma grande surprise, ce dernier s’est pointé aux environs de 16:00, alors que nous avions rendez-vous à 14:00, comme convenu la veille.
Bien évidemment, une demi-heure après le rendez-vous fixé, je l’ai appelé, ne le voyant pas arriver, et il m’a répondu qu’il était débordé de travail et viendrait… le lendemain, cherchez pas.
La veille donc, j’avais par chance obtenu son contact auprès du service censé être compétent pour gérer le gardiennage de maison.
A la base, j’y étais retourné pour savoir que faire en l’absence de réponse d’un autre service censé gérer, lui, les batteries, et dont je n’avais pas de nouvelles depuis une semaine.
Le conseil qui m’était alors donné avant de relancer ce dernier, consistait d’abord à contacter un électricien pour qu’il pose un diagnostique, bonne idée.
A ma première visite, on m’avait envoyée directement au service des batteries, ce qui m’avait coûté quasiment une après-midi, à slalomer entre malentendus et fausses adresses.
J’avoue que j’avais bien rigolé quand le gars m’avait demandé, en arrivant, où était garée ma moto afin de vérifier la batterie…
Ça faisait sens puisque j’étais venue en vélo, comme d’habitude !
J’étais donc allée dans un autre bâtiment chercher où sont gérées les batteries pour les maisons, et là, il ne me restait plus qu’à trouver le bon bureau et le bon étage.
Mauvaise pioche, lorsque je poussais la porte du présumé service, les bureaux étaient vides.
Ne me restait plus que l’option de griffoner une bafouille avec le crayon de papier mis à disposition sur une feuille accrochée à la porte, et déjà passablement remplie de doléances…
Depuis ce jour-là, donc, j’attendais, après l’histoire de la wifi et du gaz…
Bien à vous,
Isabelle