« De quoi des filles ? Arghhh quelle horreur ! »
28/09/2017 Bonjour à toutes et à tous,
« – Quand je voyage, raconte M., souvent le taxi qui m’emmène de l’aéroport à mon hôtel me demande si je suis là pour affaires ou pour du tourisme.
Et généralement, il a toute une gamme de choses à proposer pour occuper mes soirées, entre autre, de rencontrer des filles.
– De quoi des filles ? Arghhh quelle horreur !
– Ben oui, souvent c’est une façon de tâter le terrain avec l’étranger, dans un pays où la chose sexuelle est tabou ».
La chose, il a goûté à la chose le petit…
Ah mais non, c’était une autre histoire que je leur ai raconté ça, et dont j’ai été la témoin malgré-moi.
Lorsque les volets se sont ouverts en plein après-midi, et qu’ensuite la petite est repartie dans la voiture de mère venue la chercher à domicile 🙂
Oui, il avait bien calculé le petit, papa et maman bien affairés chacun-e de leur côté, je confirme mais resterai muette comme une carpe, promis, je ne vais pas le griller 😉
19:30, le bar et la terrasse sont bondés, qu’à cela ne tienne, nous allons improviser un porte-pot bien lyonnais…
En posant nos verres sur les jardinières d’en face, selon les habitudes de ces messieurs, nous voilà installé-e-s pour le début des festivités 😉
Je suis de la fête ce soir, oui, et me laisse servir, guider et… remplir mon verre, tandis que les rires fusent et que les paroles s’envolent légères, légères, légères !
22:24, j’ai noté Entre l’apparence et la réalité, mais excusez les amis, je ne me souviens plus pourquoi j’ai écrit cela, enfin plus trop, juste que nous parlions d’un livre, non ?
Avant, (ou après ma prise de notes ?) je me souviens que nous avons pris place, avec mes gentils amis, autour d’une bonne table et que je suis faite servir un tas de succulentes spécialités asiatiques.
Sans gluten, qu’ils m’ont précisé, parce que dans n’importe quel état je suis toujours capable de le spécifier.
Mais dans le vin, certes, il n’y en a pas, qu’ils m’ont aussi précisé 🙂
Bon, les sans-gluten, eux, ça les fait glousser… et même fuir, quand ils en rencontrent.
Tout comme les vegan, et les sans-sucre et les sans-graisse…
De l’aveu-même de F., je sais pourquoi mes recettes, il les zappe systématiquement à la lecture de ma Petite chronique 🙁
23:50, quand j’ai demandé l’heure, avant de sombrer dans un canapé moelleux, moelleux, moelleux…
J’embrasse tous ceux qui se reconnaîtront, et non, pour cette dernière phrase, il n’y aura pas de formule épicène 😉
Bien à vous,
Isabelle