« De mal en pis »
20/07/2024 Bonjour à toutes et à tous,
Je m’étais levée avec déjà mon programme en tête, et en premier passer commande d’une bouteille de gaz, mais malheureusement, tout est allé de mal en pis.
La veille, ça avait donc déjà commencé quand je suis tombée en panne de gaz ; ça change des coupures électriques, et je dînai donc sans cuisson.
Dès 8:30 je commençais à téléphoner, avant de me rendre à l’évidence que le bureau de gaz ne devait pas être encore ouvert.
Pas grave, c’était sur mon chemin, ou presque, je m’arrêterai en passant.
La bonne nouvelle, en arrivant sur place, fut que ma commande ait été de prise de suite et la livraison assurée dans l’après-midi.
La mauvaise fut de me trouver nez à nez avec un JCB et des tracteurs qui finissaient de massacrer ce qu’il restait d’arbres debouts à cet endroit, pour faire place à une route.
Rejoignant le centre-ville par le chemin habituel, je me heurtais là à de profondes tranchées pour faire passer des tuyaux, merci du renseignement les gars de chantier, je sais.
Une amie rencontrée un peu plus loin m’apprit que la veille elle était présente sur un autre lieu où s’exerce la violence, là à l’encontre de fermiers expropriés et même encerclés hors de chez eux.
Sans solution quant au sort des vaches, désormais privées d’eau et d’herbe à brouter, c’est finalement au poste de police que des personnes se rendirent pour exposer les faits.
Puis je repassais à la maison 1 après un petit bonjour à ma grand-mère habituelle qui n’avait pas vraiment le moral, m’informant des mauvaises nouvelles que je savais déjà…
Reprenant la route, je calculais grossomodo qu’une fois le dernier arrêt fait, il me resterait le temps d’avaler mon repas avant la venue d’une amie, comme convenu.
Mais je n’avais pas aussitôt ouvert mon téléphone pour consulter précisément l’heure que je prenais connaissance de son message laissé un peu plus tôt.
J’apprenais stupéfaite qu’un de ses proches étant décédé, elle embarquait pour l’Europe dans la nuit.
Bien à vous,
Isabelle