« De la déchetterie à votre assiette »
16/09/2017 Bonjour à toutes et à tous,
Ce soir-là, quelques minutes avant la fermeture de la déchetterie A.M. a ouvert le seul frigo présent sur le site.
Et en a extrait un coca pour l’offrir au gardien qui n’en croyait pas ses yeux…
Ah, encore une histoire de frigo vous allez penser, mais à la différence que là, ça part de la déchetterie à votre assiette, enfin plutôt à votre verre 🙂
Et en plus il est frais, s’est exclamé le gardien dans un grand rire !
Tout commence une heure plus tôt, lorsque A.M. veut offrir à boire aux gros bras qui l’ont aidée à charger et évacuer tous ses encombrants, et qu’elle cherche en vain ses boissons.
Impossible de remettre la main dessus 🙁
Cachées dans un seau, au fond d’un carton, derrière une caisse ?
Posées sur l’évier ? Planquées dans le garage ? Oubliées dans le jardin ?
Où ont-elles été stockées, entre le déplacement et le transfert à la déchetterie du frigo, des tables, des planches, des matelas, du gravât, des bouteilles… ?
Faut dire qu’à nous deux, on a fait un sacré bazar dans le quartier avec ma voisine, vidant d’un côté, remplissant d’un autre, et intrigant fort le voisinage…
Une fois donc le frigo évacué de sa cuisine, c’est le mien, enfin l’ancien, qui est allé occuper la place vide !
Et de mon côté, j’ai sorti des planches stockées dans mon jardin, pour les caser à côté de son ancien frigo, dans le coffre de la voiture spécialement affrétée pour l’occasion, vous me suivez ?
Mais déjà de bon matin, avec S. et R. nous avions attaqué de remplir coffre et remorque de diverses choses, quand se sont pointés deux autres ami-e-s intéressé-e-s par une offre faite la veille 🙂
Ah ben c’est comme ça tous les jours à la maison en ce moment, sans compter les appels téléphoniques dont je vous parlais il y a peu.
Et malgré ma bonne volonté, je n’ai PAS LE TEMPS DE RÉPONDRE à tout le monde, désolée, va falloir patienter 🙁
Enfin, entre temps, ma voisine s’est soudain souvenue qu’elle avait bien ouvert la porte du frigo, avant de l’acheminer vers l’issue fatale.
Mais pas celle du congélateur…
Bien à vous,
Isabelle