« Comment je lui ai porté la poisse »
26/11/2021 Bonjour à toutes et à tous,
Comment je lui ai porté la poisse, franchement je ne voudrais pas m’en vanter.
Mais d’abord j’ai attendu qu’il me communique les résultats du concours avant de vous en parler dans ces mêmes lignes.
Bon, maintenant qu’il a échoué à l’oral, ça arrive, je vais vous raconter ça plus en détail.
Lorsque j’ai annoncé à mes kids les chiffres de la quantité d’eau tombée ces derniers temps à Auroville, ils m’ont bien évidemment qualifiée… d’affabulatrice.
Non mais tu te rends compte, c’est des millilitres, pas des litres, blablabla.
Moi, je ne faisais que restituer ce que l’on m’avait rapporté.
Parce que je ne connais rien aux données saisonnières et que j’ai juste compris qu’il était tombé pratiquement le double d’eau.
Alors j’ai eu droit à tous les commentaires, dont toujours des rectificatifs, jusqu’à ce fameux jour où j’ai savouré ma revanche.
Il se trouve que peu après, dans l’énoncé d’un concours, l’un d’entre eux a été confronté à une histoire de… volume d’eau et de fuite, comme par hasard !
J’ai tout assumé, y compris le reproche de lui avoir porté la poisse.
Même si ce n’est pas de ma faute qu’il n’ait pas révisé les histoires de volumes.
Ni certaines formules relatives aux calculs de volumes et surfaces de certains parallélogrammes, autant que je m’en souvienne.
Bref, il a, comme on dit, queuté l’écrit d’un demi-point.
Oui, ça énerve, j’en conviens.
Mais pour lui ce n’était pas éliminatoire puisqu’il a d’autres plans de carrière, juste un autre possible qu’il souhaitait tenter.
Maintenant, pour lui la voie est libre puisqu’il a fait la part des choses.
Et qu’il ne le regrettera pas un jour, se disant si j’avais su… si j’avais pu… si si si.
C’est dit c’est fait, bravo, next… que déjà tombait la nouvelle, à peine rentré de son séjour en Irlande !
Bien à vous,
Isabelle
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