« Ce que tu n’aurais pas fait »
03/10/2023 Bonjour à toutes et à tous,
Tout ce que tu n’aurais pas fait sans moi, fut ma réponse immédiate à sa réflexion.
Réflexion humoristique comme on s’en envoie régulièrement entre membres de la famille, parce que rire c’est bon pour la santé.
Normal, je vous ai déjà dit qu’on cultivait le même humour, donc ça reste toujours cordial.
Alors quand il m’a dit Qu’est-ce que tu ferais sans moi ? je lui ai répondu du tac au tac, et toi, tout ce que tu n’aurais pas fait sans moi !
Ben oui, juste retour des choses, parce qu’à un moment de la vie, ce sont les parents qui aident les enfants.
Et ensuite, les enfants peuvent leur venir en aide à leur tour, le moment venu.
De même, j’ai géré seule toute leur scolarité, leurs activités sportives et de loisirs, leurs vacances, leurs soins de santé, de bien-être… et j’en oublie sans doute !
J’avoue par ailleurs que ça me convient tout à fait de ne pas gérer les réservations de train, bus, hôtels et autres hébergements à l’étranger, en ligne et en anglais.
Pour le reste ça va, parce qu’ils m’ont entre autres appris à utiliser les outils informatiques et j’ai complété mes connaissances par moi-même.
Nous quittons donc ce jour l’avant-dernier hébergement, Locul Midtown, à savoir ce qu’ils appellent ici, en Inde, un Hostel.
Il s’agit de lieu de séjour en chambres partagées, 6 lits dans la mienne en zone femmes, qui offrent de spacieux espaces de co-working pour personnes qui travaillent à distance.
Franchement, écrire devant la baie vitrée ouverte sur des plantes baignées de soleil, au milieu des chants d’oiseaux dans un quartier résidentiel planté de grands arbres, c’est top
Le top du top c’est vraiment de prendre du bon temps sans aucune contrainte ni de gestion, ni d’organisation, ni de budget, ni de timing.
Oui, c’est ça, je me laisse vivre, livrée au bon vouloir de mes hôtes qui planifient un séjour des plus agréables pour nous.
Suivre le mouvement au gré de nos envies, entre restaurants, magasins, parcs et autres sites à visiter, j’avais oublié combien ça a du bon !
Bien à vous,
Isabelle