« Bis repetita chez le garagiste »
04/05/2023 Bonjour à toutes et à tous,
Bis repetita chez le garagiste, je vous explique.
Y’a rien de plus désagréable, en reprenant son vélo qui a passé la journée entre ses mains, de constater un oubli dans les réparations.
Surtout lorsque le problème a déjà été signalé et zappé le mois dernier et que l’employé vous a assuré qu’il serait traité au prochain rendez-vous.
Surtout lorsque, connaissant la boîte, vous avez pris soin de détailler tous les points défaillants de votre vélo lors la prise de rendez-vous du mois, en ligne.
Surtout quand vous l’avez, une fois sur place, signalé à un, puis deux, puis trois employés, preuve à l’appui.
Ben non, raté une fois de plus, mon vélo n’aura pas retrouvé le capuchon plastique qui bouche l’entrée d’eau et de boue dans le connecteur du câble de chargeur de batterie…
Enfin, c’est pas tout à fait exact, puisque l’employé après m’avoir assuré que ce serait traité la prochaine fois – mais oui c’est ça – a trouvé une solution miracle.
Il est revenu de l’atelier très enthousiaste, un bout de… chatterton noir collé entre les doigts.
J’ai eu même droit à une explication détaillée de comment on colle et comment on décolle ledit bout de chatterton avant et après usage.
A croire que cet homme partageait le même et unique neurone, en alternance avec les deux autres, bien évidemment, évoqués dans la précédente Petite chronique.
Je suis donc repartie sur mon vélo avec éclairage mais sans capuchon, plus un nouveau bruit suspect de frottement à l’avant.
Ah oui, et j’avais accepté ce jour de laisser mon vélo toute la journée, à la demande du chef d’atelier, pour que l’équipe ait bien le temps de tout contrôler.
C’est vrai que depuis plusieurs mois j’avais opté pour la solution d’attendre sur place jusqu’à la fin de la révision, mais apparemment ça les stressait…
Et en dernier lieu, j’avais accepté aussi de laisser mon deux-roues parce qu’il y avait un vélo de remplacement disponible, vu qu’on est en basse saison touristique.
Mais, chers amis, désolée, la prochaine fois c’est non, je reprends mes bonnes vieilles habitudes testées et approuvées.
Bien à vous,
Isabelle