« Au pays du soleil levant sous la pluie »
08/02/2017 Bonjour à toutes et à tous,
Au pays du soleil levant sous la pluie et à Paris, autant rêver.
Mais une fois de plus, c’est le hasard qui a bien fait les choses 😉
Ah ben oui, hein, parce que quand il s’agit de trouver en plein centre de Paris, sans réservation, un endroit pour faire un brunch à 8, autant croire au miracle…
La première adresse visitée et conseillée par M. qui m’avait juste relayé le FB du lieu, Biglove Caffè, semblait vraiment fameuse.
J’avais tenté un contact via FB quelques jours avant, mais toujours pas eu de réponse…
Sur le pas de porte, la dame qui répondait à la foule impatiente d’entrer, tout en noircissant un plan de salle déjà bien raturé, enfin bien saturé, me confirma qu’elle ne se s’occupait pas du site 🙁
Alors sinon, on aurait pu espérer grignoter quelque chose, mais pas les 8 à la fois, ni à la même table, à horaires décalés… et dans environ trois heures !
Après avoir arpenté les rues aux terrasses pleines d’assiettes de frites garnies de côtes de boeuf ou d’agneau ou de porc qui dégueulaient de ketchup.
Après avoir humé des relents de choucroute ou d’égouts, lu et relu les cartes qui affichaient toutes le même standard version Metro.
Mes pas m’ont finalement ramenée au Carreau du Temple, dont la belle verrière à l’architecture rétro, m’avait déjà fait de l’oeil à un premier passage 😉
Avec ces lampions rouges accrochés dans tout le quartier, annonciateurs des fêtes du Nouvel An Asiatique, comment résister à l’envie de pousser la porte pour voir ce qu’il se passait à l’intérieur, attirés par les flonflons ?
Et c’est bien là que nous avons pu TOUS nous régaler, gustativement ET artistiquement.
Sans problème de menu, ni de place, ni de timing, ni de réservation, entre l’immense choix de plats asiatiques fraîchement cuisinés, tout était réuni pour satisfaire nos papilles et nos pupilles !
Avec en prime, un spectacle en direct sur le podium, avec chants, danses, musiques et vidéos, comment rêver à mieux… pour de l’improvisation 🙂
Bien à vous,
Isabelle