« Admirer un tas d’ossements préhistoriques »
22/02/2018 Bonjour à toutes et à tous,
« – On boit de ton vin de noix 2015 avec nos meilleurs pensées. Rien à voir avec la St Valentin !???
– Alors la Saint Valentin, voyons… Ah non, j’étais en train d’admirer un tas d’ossement préhistorique 🙂 »
Véridique.
Le 14 Février 2018, au fond d’une caverne d’Ali Baba, j’étais en extase devant des caisses d’ossements préhistoriques, soigneusement numérotés, et triés par catégories… environ 30000 ans plus tard !
Les griffes de bébés ours avec les griffes de bébés ours, et celles des ours adultes avec celles des ours adultes, les premières phalanges avec les premières phalanges, les secondes avec les secondes, les clavicules droites avec les droites et les gauches avec les gauches…
Et des tibias de toutes longueurs et diamètres, entiers, rongés, fracturés, reconstitués.
Autour, dans d’autres caisses, trônaient aussi des crânes de chevaux, sangliers, élans, chevreuils…
Tandis que dans la terre du jardin, finissaient de mûrir quelque squelette de volaille, derniers reliefs d’un repas de Noël, ou d’un canard qui avait (mal) fini au bord d’une route.
Ben voilà, moi qui me passionnait, entre autre, pour la photo de cadavres d’animaux, voilà une belle idée de recyclage.
Maintenant je connais un amateur de ce genre de curiosités 🙂
Et puis, entre autre info, j’ai eu confirmation que depuis longtemps, le monde scientifique savait.
Mais que pour des raisons morales, personne n’en faisait état.
Tout comme les ours, qui, par exemple, au sortir d’une longue hibernation grignotaient deci delà quelques membres ou organes, voire plus, de leurs semblables qui n’avaient pas survécu aux rigueurs de l’hiver, nos ancêtres faisaient de même…
Inutile de vous dire qu’on n’a jamais pu recueillir de témoignages pour en savoir plus sur les circonstances.
Bien à vous,
Isabelle